Découverte du plaisir avec ma mère (7)
Datte: 03/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... hoche la tête. — Je ne porte pas de culotte, Thomas, cela m’humidifie les cuisses, me répond-elle. — Tu es très excitée ! Je pense que l’on ne restera pas aussi sages que cela, dis-je en souriant. — Et toi ? Avec ta bosse dans ton pantalon ! Elle tourne légèrement la tête, ses boucles se balançant. Je me déplace derrière elle, ma bite me fait mal, dressée, palpitante. Marie ne reste pas indifférente. Une fois dans la remise, invisible de la maison, elle se livre à moi, nous nous rassasions de nos désirs l’un pour l’autre. Je saisis sa jupe. Je la remonte le long de ses jambes musclées et souples, exposant de plus en plus sa chair. Entre ses cuisses, j’aperçois son intimité rasée. Son jus perle entre ses lèvres et ses cuisses lisses. Un doux musc emplit mon nez. Je respire profondément, j’adore. — Vas-tu prendre soin de mon chaud minou, Thomas ? Gémis ma petite sœur. Je me pourlèche les lèvres. — Je suis ton frère aimant, non ? Marie rit nerveusement à ces mots, sentant mes yeux sur son cul. Ma main attrape sa fesse gauche. Je la serre et la malaxe, insérant mes doigts dans sa chair, elle frissonne. La force du contact fait littéralement fondre la chatte juteuse de Marie. Elle se mord la lèvre et geint. Ce plaisir merveilleux la fait couler davantage. — Tu as un cul si mignon, Marie. Dis-je, mes doigts s’y enfonçant. — Mmm, ton cul... et ta chatte. Continué-je. Mes deux mains ne cessent de presser et pétrir. Elle écarte les cuisses en me voyant me baisser. Elle geint ...
... doucement alors que mon visage glisse le long de ses cuisses. Mon souffle caresse les plis rasés de sa chatte. Elle gémit, alors que mes lèvres se glissent dans sa vulve rasée. Ma langue parcourt ses plis. Ce délice merveilleux et incestueux traverse hâtivement mon esprit. Je frissonne, alors que ma langue s’insinue encore et encore dans sa féminité. — Mmm, tu as un goût incroyable, ma sœur, déclaré-je, mes doigts s’enfonçant dans sa croupe. Ma langue lèche la vulve, taquinant les grandes lèvres charnues, ignorant pour le moment sa fente et ses pétales intérieurs. Sa chatte devient plus chaude. Le liquide en fusion débordant de son cœur coule dans ma bouche. Ses hanches se tortillent d’un côté à l’autre, tandis que je recouvre sa chatte de ma bouche affamée. Je lèche et lape avec une grande passion. Ma langue caresse tous ses recoins. Elle tremble, la chatte en feu. Son jus s’écoule en moi, droit dans ma bouche gourmande. — Thomas, humm, chaque fille aurait besoin d’un grand frère aussi aimant que toi ! Profère-t-elle. — Avoir une petite sœur ayant une chatte aussi chaude, c’est un avantage délicieux, dis-je avant de la lécher à nouveau. Elle sourit puis halète lorsque ma langue se glisse dans sa fente, séparant ses plis, taquinant sa peau sensible. Le plaisir la transperce. Ses hanches bougent d’un côté, de l’autre, ses fesses se creusant sous mes doigts pétrisseurs. — Mon frère, tu étais mon interdit. Ne jamais être gentille avec toi, mais maintenant... Oh, maintenant, on rattrape ...