Découverte du plaisir avec ma mère (7) - Histoires de Sexe

Découverte du plaisir avec ma mère (7)

... taquiner ! Ma chatte est tellement humide et juteuse... Je vais te faire exploser. — Ouais, assuré-je. — Baise-moi, Thomas ! Sa main revient entre nos corps et attrape mon manche. — Arrête de me faire languir avec ta bite ! Baise-moi ! Ordonne-t-elle — Tu la sens bien, ma bite ? Lui dis-je, tout en serrant et en malaxant ses seins ronds. Ils sont chauds et soyeux dans mes mains, doux et tout à la fois si fermes. Mes doigts effleurent ses auréoles, alors qu’elle frissonne. — Guide-moi dans ta chatte, et je te baise. Dis-je Ma sœur me guide vers sa chatte, en glissant le bout de mon sexe le long de sa croupe, et enfin vers sa chatte baveuse. Elle me presse contre l’entrée de sa chatte et s’appuie sur moi, gémissant lorsque sa chair incestueuse s’écarte sur les premiers centimètres de ma bite. — Merde, C’est chaud ! M’exclamé-je. — Je sais, riposte Marie, sa chatte bien serrée autour de ma bite. — Oh, oui, oui, j’aime ta bite en moi. Nous venons du même ventre ! C’est tellement chaud. Tellement interdit. Je l’aime ta bite ! — Oui ! Je râle doucement, poussant fort dans le vagin de ma sœur. Sa chair chaude engloutit ma bite. Elle me tient dans son étreinte soyeuse. Elle me masse. Elle me rend fou alors que je m’enfonce plus loin en elle. Le frottement sur ses parois par la pointe de ma bite. Mes doigts s’enfoncent dans la chair de ses seins, les saisissant et profitant de leur rondeur alors que je la pilonne. Ma sœur gémit. Ses hanches bougent d’un côté à l’autre. Les pans de ma ...

... chemise se balancent derrière moi alors que je la baise vivement. Mes couilles claquent contre son fessier charnu. — Oui, oui, oui ! Prends tout ! Ma sœur salope !... — Je le suis, je veux être ta salope d’amour ! Oh oui, Thomas, remue dans ma chatte ! J’aime ta bite en moi ! Je lui pince les tétons. Sa chatte comprime vigoureusement ma bite. Mon entrejambe claque sa croupe pendant que je la baise contre le mur. Je pince ses mamelons énergiquement. Je les serre, les tords pendant qu’elle gémit et gémit encore. Sa chatte se fait plus chaude sur ma bite, plus juteuse que jamais. La friction humide masse le gland. La douleur enfle et augmente. Je murmure, pressant mon visage dans ses boucles. Je trouve son cou et le lèche. Elle se sent tellement bien. Je lui hurle alors : — Merde, Marie ! Continue à masser ma bite. Je vais jouir si fort en toi ! — Continue à me baiser ! Quémande-t-elle. Sa chatte se resserre encore plus autour de moi. — Oh, oui, oui, continue à me planter cette incroyable bite. Une chaleur délicieuse me traverse. Mes yeux se ferment. Mes couilles sont prêtes à déborder de tout leur sperme. Chaque poussée me rapproche de plus en plus de cette explosion. Sa chatte me saisit. La tête de Marie se cambre. Je la pistonne violemment, mon bas-ventre claquant sur sa croupe, mes couilles tapant sur son clitoris. — Thomas ! Oh, Thomas, je suis... je suis. Oui ! Halète-t-elle. Ma sœur jouit alors sous l’action de ma bite. Ce moment étonnant m’envahit de bonheur. Je gémis en ...