Même le fils des voisins
Datte: 04/03/2021,
Catégories:
fh,
amour,
noculotte,
entreseins,
Oral
pénétratio,
init,
Je me prénomme Sophie, je viens juste d’avoir quarante-cinq ans, et comme l’indique l’étymologie de mon prénom je suis plutôt sage. Je n’ai jamais trompé Gaby avec lequel je suis mariée depuis bientôt vingt-deux ans, ni eu envie de le faire. Je l’ai rencontré à une soirée étudiante, il y avait peu de garçons intéressants, beaucoup déjà saouls et très lourds. Quand il est arrivé, je l’ai trouvé attirant tout de suite, mes copines aussi. Grand, une carrure de rugbyman, des cheveux abondants très courts, les yeux noirs, un prototype de virilité, et en plus beau gosse. Il a un peu tourné dans la salle, puis est venu vers nous, un verre d’eau gazeuse à la main, nous on buvait mojitos ou vodka-pomme. Il s’est présenté, « Gabriel, tout le monde m’appelle Gaby », il nous a demandé nos prénoms, il avait un sourire craquant, il a montré son verre, a dit qu’il buvait de l’eau parce qu’il jouait au rugby, et qu’il y avait un match le lendemain, les championnats universitaires, mais qu’on se rassure, ils se rattrapaient à la troisième mi-temps. Il nous a demandé ce qu’on faisait, nous fac d’anglais, lui était en train de finir une école d’ingénieurs assez prestigieuse. Très vite il n’a plus parlé qu’en me regardant, nous a dit qu’il devait partir tôt et m’a tendu une petite carte de visite. Il m’a expliqué qu’ils avaient tous des cartes dans son école, ils se faisaient des réseaux pour plus tard. Il m’a demandé mon numéro et j’ai dit non, bien sûr. Il a répliqué calmement qu’il ...
... attendrait que je l’appelle, mais que si je n’osais pas il le ferait lui, donc il devait l’avoir. Mon amie Isa s’en est mêlée : si je ne le donnais pas, elle donnerait le sien avec plaisir. Ça m’a décidée, il nous a fait la bise et est reparti avec mon numéro. Isa était presque aussi excitée que moi : ce type était carrément canon, beau, sportif en plus, ça devait être un super coup, et puis que c’était injuste, les mecs préféraient les nanas à gros nichons, elle n’avait plus qu’à se suicider à la vodka-pomme. On s’est bidonné, mais moi j’étais toute remuée. Il m’a appelée au bout d’une semaine pour m’inviter au resto, et un an plus tard on se mariait. J’avais eu peu d’expériences avant lui, des flirts à l’adolescence, un « flirt poussé » à dix-huit ans à qui j’avais fait ma première fellation les seins nus, je n’étais pas allée jusqu’au bout bien sûr, il me caressait avec sa main dans ma culotte que je refusais d’ôter. J’ai couché pour la première fois à l’âge de dix-neuf. J’étais contente de l’avoir fait comme toutes mes copines, mais ça n’a pas été inoubliable, la relation n’a pas duré, je ne ressentais pas grand plaisir. J’étais restée plus d’un an avec le deuxième, un copain de fac et ce malgré un gros problème de sa part qui était une éjaculation précoce. Il avait, sans doute pour compenser son « infirmité » développé un incontestable talent pour me donner du plaisir avec sa bouche tout en caressant mes seins dont il était fou. Isa, ma meilleure amie à qui je disais tout l’avait ...