Même le fils des voisins
Datte: 04/03/2021,
Catégories:
fh,
amour,
noculotte,
entreseins,
Oral
pénétratio,
init,
... voiture plus modeste, la sienne, j’ai découvert son grand appartement, dans un immeuble plutôt luxueux pour un étudiant. Il s’était excusé : — C’est à mes parents, ils ne veulent même pas que je paye un loyer, ils sont bourrés de fric. Il m’a amenée dans sa chambre, très lumineuse, m’a embrassée et commencé à se déshabiller, attendant que je l’imite. J’ai ôté ma jupe et mon pull, intimidée qu’il me voie nue en plein jour, gênée par mes dessous bon marché, avec une bourse d’étudiante on ne se paie pas de lingerie de luxe. Je le lui ai dit, il a ri et répondu qu’il m’en achèterait, on irait la choisir ensemble, qu’il n’avait jamais fait ça et qu’avec moi ça allait lui plaire. Nu, je l’ai trouvé superbe, des épaules larges, un torse musclé recouvert d’un fin duvet de poils sombres, et des cuisses incroyablement massives, des jambes faites pour courir sur une pelouse, pour pousser dans une mêlée. Il ne me regardait pas, il me badait, j’ai vu son sexe gonfler doucement, se soulever par saccades et venir se plaquer sur son ventre. Malgré ma modeste expérience je me suis dit qu’il était plus gros que ceux que j’avais vus jusqu’alors. Il s’est approché, m’a caressée debout pendant qu’on s’embrassait, le dos, le creux des reins, les fesses, il m’a retournée pour me caresser longuement les seins, et ses mains ont glissé le long de mon ventre. Ça n’est qu’un long moment après qu’il a dû juger que j’étais assez excitée pour me porter sur son lit où il allait me faire l’amour, doucement, ...
... tendrement, puis plus fort, en variant les positions et il avait fini par jouir. J’avais eu la même impression de plénitude que la première fois, sauf que je n’avais pas eu mon orgasme libérateur. J’étais bien installée au creux de son épaule, appréciant son odeur et l’ample respiration qui soulevait doucement son torse quand j’ai senti qu’il posait un doigt entre mes seins. — Tu n’as pas joui. Ce n’était ni une question, ni un reproche, juste une évidence. Je n’ai pas pu répondre, je me suis sentie misérable, il allait me virer, que méritait de mieux une nana frigide ? J’ai voulu me lever pour aller me laver, il m’en a empêchée, a recommencé à m’embrasser, me caresser, me faire rouler pour me mettre à plat-ventre, me dire que j’étais belle, que j’avais de belles fesses, qu’il aimait mes fesses. J’ai pouffé de rire, il m’a fallu m’expliquer : j’avais pensé au film de Godard,Le Mépris, la scène culte au lit entre Michel Piccoli et Brigitte Bardot. — Oui, j’ai vu le film, tourne-toi s’il te plaît, encore une fois, non tu as d’aussi belles fesses mais de plus beaux seins que Bardot. Ce mec se moquait de moi ? Ou bien il me menait en bateau, j’avais dû tomber sur un Don-Juan qui me larguerait une fois lassé de moi. Sauf que sur l’instant je n’arrivais plus à penser à autre chose qu’à la façon dont il me touchait, guidait ma main vers mon propre entrejambe et me poussait à me caresser moi-même. Je ne voulais pas, il a insisté, j’ai cédé, et à nouveau tout raide il a plongé en moi. ...