Je me suis laissé dominer - Histoires de Sexe

Je me suis laissé dominer

Je l’ai rencontré, il y a quelques semaines, via un site gay. Son pseudo :dominateur, avec une photo d’une queue d’un bon calibre, plutôt appétissante… Il m’a envoyé un message : « Je recherche lope à baiser hard ce soir. Je reçois. » Et j’ai répondu… Échange de messages, puis de SMS… Mes disponibilités et les siennes ont fait que nous avons pu nous voir un mois plus tard. Je suis arrivé chez lui et nous avons discuté de nos attentes respectives ; il en a profité pour me présenter son matos : menottes, godes – dont un assez conséquent – pinces à seins etc. Très clairement, il était orienté SM. Pour le coup, cela ne m’a pas effrayé. Après quelques rencontres avec des hommes se prétendant dominateurs qui en fait ne le sont pas, je me suis dit que j’allais être déçu, comme d’habitude. Je me suis déshabillé et lui ai fait une petite sélection des accessoires que je voulais bien qu’il utilise pour une première, mais en pratique il n’en a pris aucun. Mais pendant que je faisais mon marché, il s’est glissé derrière moi, m’a penché en avant et m’a pris comme ca, debout devant sa table. Il m’a limé un bon moment ; sa queue était grosse dans mon cul ! Mais que c’était bon ! Puis il s’est arrêté. Nous sommes repartis dans son salon et il m’a proposé un café… Nous avons discuté un peu plus intimement de ce qu’il voulait, de ce que je voulais, et nous avons trouvé un terrain d’entente. Après cela, il m’a dit de me mettre à genoux et de le sucer. J’ai pu voir sa queue énorme, mais pas ...

... bien longtemps : il me l’a fourrée au fond de la bouche et m’a baisé ainsi, puis il m’a emmené dans sa chambre et m’a pris en levrette avant de m’allonger sur le ventre et de me défoncer le cul jusqu’à ce qu’il jouisse abondamment sur mes fesses. Nous nous sommes revus deux ou trois fois – de manière plus soft ou pas – où nous avons essayé quelques accessoires… jusqu’à aujourd’hui. Je reçois un SMS : « Tu es seul ? » Je lui réponds : « Oui. » « Tu fais quelque chose now ? » « Non. » Sa réponse ne se fait pas attendre : « Je t’attends dans une heure, salope, prête à l’emploi. » Une douche ; je me prépare puis je prends ma voiture. Une heure après je sonne. — Monte. Je passe la porte ; il m’attend derrière. — Déshabille-toi et mets-toi face à la porte. Je m’exécute, et spontanément je mets mes mains dans mon dos. Il me saisit les poignets et je sens tout de suite les menottes qui viennent les enserrer. Aussitôt, il me met un bandeau sur les yeux, qu’il attache bien ; et là, surprise : il me met aussi un bâillon boule. Je tente de m’y opposer ; mais, les mains attachées, je capitule rapidement. Là, il me met une claque sur les fesses en me disant « C’est moi qui commande ! » Le ton est donné. Il m’emmène dans le salon, me positionne comme il le veut et me dit de me mettre à genoux. Pas évident, sans l’aide de ses bras pour l’équilibre… Il m’écarte les jambes comme il veut, puis presse sur mes épaules jusqu’à ce qu’elles touchent le sol. Me voilà le cul offert comme une salope. Je ...