Je me suis laissé dominer - Histoires de Sexe

Je me suis laissé dominer

... n’ai pas trop le temps de réfléchir ; il me caresse les fesses doucement, puis vient la claque. — Dix sur chaque fesse, me dit-il avant que la seconde tombe jusqu’à ce qu’il arrête. J’ai mal aux fesses, mais j’aime la sensation de chaleur. Il m’écarte les fesses de ses mains, et met sa langue sur mon anus. Il lèche, appuie, tourne, force. J’adore cette sensation. La caresse contraste avec la fessée de l’instant d’avant. Puis il m’enduit l’anus de gel et en masse doucement le tour pour bien le dilater. Il me travaille l’anus doucement, en me traitant de salope qui aime se faire prendre le cul, sucer des bites. Et moi j’acquiesce en couinant, avec la boule qui m’empêche de parler. — T’aimes ça, hein, salope ?— Mmm…— Tu vas voir : je vais bien t’ouvrir et je vais te défoncer ton petit cul de salope !— Mmm…— Tu vas bien me sucer à fond et je reprendrai ton cul de putain… déclare-t-il en même temps que son doigt coulisse en moi. Il arrête, s’éloigne quelques secondes et revient. Il remet un peu de gel sur mon anus puis me met une bonne claque sur la fesse en me disant de me détendre. Je sens qu’il présente un plug ; il appuie doucement mais sûrement, relâche légèrement la pression puis repart, et ainsi de suite. Puis il arrête et se relève, et clac ! il m’assène un coup de cravache, puis un autre sur l’autre fesse. Il me dit qu’il va falloir que je me détende. Il me remet quelques coups puis repousse le plug, et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il soit entièrement dans mon cul et ...

... qu’il tienne tout seul. — C’est bien, salope. Et il me met une claque sur le cul. Il me redresse et retire le bâillon, mais je n’ai pas trop le temps de me déraidir la mâchoire qu’il enfourne sa bite et commence un va-et-vient tranquille au début, le temps de m’habituer. Il est autoritaire, mais prévenant et attentif. Il m’a déjà fait jouir et je lui fais confiance. Il me baise la bouche un bon moment, me laissant respirer régulièrement mais allant de plus en plus loin. C’est difficile à prendre, mais il insiste doucement. À ce moment-là, avec le plug, sa bite, entièrement à sa merci, c’est jouissif ; pas facile, mais tellement bon… Il me dit qu’il aime ma bouche, qu’il va bien me la remplir de son jus, que je devrai lui montrer et attendre qu’il me dise d’avaler. Ça m’excite au plus au point, et je pense qu’il le sait. Il se retire de ma bouche et me remet le bâillon. Il passe derrière moi ; j’ai la tête sur le sol. Il retire le plug assez rapidement et présente aussitôt sa bite ; elle est enduite de gel. Il pousse doucement. Il s’arrête et me met des coups sur les fesses. — Détends-toi. J’ai le cul en feu, j’ai envie qu’il me prenne ; je remue les hanches. Il revient, et recommence à m’enculer, un peu plus fermement maintenant. Il fait de petits va-et-vient pour avancer petit à petit, puis il fait une courte pause au fond avec une claque sur le cul. — C’est bien, salope. Tu va voir ce que tu vas prendre, maintenant… Et il ressort de mon cul et revient aussitôt. Il commence à me ...