Solange m'invite à son safari - Histoires de Sexe

Solange m'invite à son safari

... Qu’est-ce qu’ils diraient tes parents si je leur racontais que tu t’es promené à poil chez moi ? Je réponds : — Tu ne leur diras rien.— Ce n’est pas sûr, ça !— Je crois que tu ne leur diras rien !— Ça te plaît de te promener à poil comme ça ? C’est pas de la provoc’ ?— D’abord, c’est pas moi qui ai commencé, c’est toi qui m’as foutu à poil. Deux fois déjà ! Elle admet, mais ajoute : — T’aurais pu empêcher ça !— Je pensais pas que tu oserais.— Enfin, t’es pas mal mignon comme ça, termine-t-elle la conversation, puisque dans le même temps, elle se lève.— Tu bois quelque chose ? Le lendemain, je fais sonner mon réveil. Solange commence ses vacances et a droit à se reposer. Plutôt que de me lever, je prends un de mes bouquins et entame mon travail. Je bosse une bonne heure avant qu’elle ne vienne me saluer. Elle s’étonne que je sois toujours au lit. Je lui explique qu’il m’arrive d’organiser ma journée à ma façon, et que je peux être très efficace pour les études dès le réveil. C’est même parfois mon meilleur moment de la journée. — T’as pas encore mangé alors ? Je fais signe que non. — Mais si tu veux, je file à la salle de bain, et je te rejoins. Elle acquiesce et retourne vers sa chambre. Cela devient une habitude, mais il faut que je l’entende quitter cette pièce pour que je quitte la mienne, évidemment la biroute à l’air. — Tiens, t’as toujours pas retrouvé ton caleçon ? me lance-t-elle lorgnant de manière plus décidée qu’hier sur ce petit morceau de bidoche qui fait la ...

... fierté des hommes.— Non, et je pense que je ne le retrouverai plus ! Ma douche terminée, je la rejoins pour le petit-déj, où elle me rappelle notre virée de l’après-midi. — On va aller voir tes congénères, ceux qui montrent leurs fesses à tout le monde ! Je souris, mais ne relève pas. Le safari… La matinée est calme et je carbure bien. La matière rentre plus facilement que je ne l’espérais. Après un bout de pain et de fromage, je l’accompagne donc à la découverte de son « safari ». — Cette maison-là, dit-elle en me montrant celle des voisins, tu sais déjà ce qui s’y passe. À propos, t’as trouvé des idées pour qu’on joue avec eux ?— J’en ai rêvé cette nuit ! Mais bon, je sais pas si c’est réaliste !— Tu me raconteras. En attendant, tu vois la maison jaune là devant. Vas-y. Passe devant, et cache-toi derrière un arbre un peu plus loin. Je te rejoins ! J’obéis. Caché derrière l’arbre, je la vois s’approcher de la maison. Puis s’arrêter à sa hauteur, et faire un signe de la main. J’aperçois alors un tout nu au premier étage. Elle lui fait un autre signe. Il répond. Cela dure quelques secondes, puis elle s’en va et me rejoint. — Lui, c’est Juan, un jeune gars qui aime montrer sa bite aux passants. Parfois il bande, parfois pas. Quand il ne bande pas, je pense qu’il s’est astiqué avant… Je l’ai vu plusieurs fois. Et une fois, après l’avoir bien regardé, j’ai été sonner. Il est arrivé à la porte tout paniqué. Je l’ai rassuré. Mais lui ai quand même imposé mes conditions. Quand ses ...