Solange m'invite à son safari
Datte: 06/03/2021,
Catégories:
fplusag,
jeunes,
vacances,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
nopéné,
amiamour,
... parents ne sont pas là, il doit venir m’ouvrir la porte tout nu. Tu vois la porte, elle est en retrait. Il n’est pas particulièrement visible de la rue. Il ne prend pas de risque… Et il m’obéit ! Quand je passe, je lui dis bonjour, je lui demande si ses parents sont là. S’ils le sont, je continue mon chemin, sinon, je sonne et je vais admirer sa bite de près. Ça lui fait plaisir à lui, et moi, ça m’amuse ! Parfois, il est avec sa copine. Ils ont les mêmes goûts, les tourtereaux. Et ils me font profiter de leurs anatomies et de leurs caresses. Je lui ai dit une fois qu’ils avaient aussi droit à leur intimité et que je ne voulais pas qu’ils me montrent trop ! Enfin, ce qu’ils me montrent, c’est déjà pas mal. Pelotage des seins et bite en main sont au programme ! « Ça te plaît ? Allez, on continue ! « Ici, c’est monsieur Gilbert. Lui, il vit toujours tout nu. Il sort chercher son bois dans la remise ? Tout nu. Il va chercher son chien qui ne veut pas rentrer ? Tout nu. Son courrier le matin ? Tout nu. Il ne s’habille que pour quitter le périmètre de sa propriété. En été comme en hiver. Des voisins ont bien râlé auprès de sa femme. Qui apparemment, au début, n’était pas trop pour les exhibs de son homme. Mais qui s’y est finalement habituée. Les flics sont bien passés une fois ou l’autre. Mais il fait rien de très grave le bonhomme. Il est chez lui ! Et ceux que ça dérange, ils n’ont qu’à regarder ailleurs. Moi je regarde chaque fois que je passe. Mais, pour voir son kiki, le ...
... samedi c’est pas un bon jour. Il est rarement là le samedi. Il part faire une grande balade avec sa femme et son chien. Ce qui m’impressionne, c’est sa paire de couilles ! Une sacrée paire de couilles qui pend bien bas ! Et on se balade, Solange me racontant ses découvertes, s’animant à propos d’un zob hors norme, ou d’une paire de seins qui n’étaient pas particulièrement exhibés, mais qu’ELLE a vus. Parce qu’elle ne manque rien dans le quartier. Et au fur et à mesure des maisons qui passent, elle explique. Le plus souvent ce sont des anecdotes uniques, parfois plus régulières comme Juan ou monsieur Gilbert. C’est un couple qui monte les escaliers, la dame embrochée sur le monsieur, et qui oublient tous les deux qu’il y a sur le palier une fenêtre qui permet aux passants de profiter d’une image furtive. Ce sont trois jeunes imbibés de bière qui font des paris dans le jardin de l’un d’entre eux et se retrouvent pantalon et slip aux chaussures. Ce sont d’autres jeunes du même style qui la repèrent, qui la trouvent sans doute trop curieuse, mais qui, plutôt que de la remballer, ou de se faire discrets, lui montrent leurs fesses. Et comme elle ne se décide pas à s’en aller, ils exhibent le reste. Elle les salue donc d’un geste amical… On arrive au bout du quartier. Solange prend alors un chemin qui dirige nos pas à l’arrière des maisons. — C’est dans ce coin-ci qu’il y a les spécimens les plus intéressants… annonce ma compagne de balade. Tu vois, il y a le chemin qui longe les ...