Histoires sans paroles
Datte: 06/03/2021,
Catégories:
f,
fh,
hplusag,
jeunes,
Inceste / Tabou
Collègues / Travail
profélève,
école,
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
portrait,
amourcach,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... essuie avec son doigt, lèche le sperme puis quitte la salle de classe après s’être rajustée et avoir pris son sac. * * * Et puis un jour – c’est un vendredi soir – elle range son bureau. Tous ses collègues sont partis depuis longtemps. Elle prend l’ascenseur pour rejoindre les locaux de la direction quatre étages plus haut. Son chef, exceptionnellement, y est encore. Une affaire en cours avec des Américains, décalage horaire oblige. Dans l’ascenseur, elle retire son tailleur et ne garde que ses sous-vêtements. Elle apparait ainsi en soutien-gorge et culotte assortis, dans l’encadrement de la porte du bureau de son chef. Il éteint son ordinateur ; elle s’avance. Arrivée devant son fauteuil, elle s’agenouille et libère le sexe à demi-bandé de son supérieur. Elle le suce avec application pour lui donner une érection digne de se nom. Pendant ce temps, l’homme dégrafe son soutien-gorge et libère une paire de seins lourds qu’il caresse avec délectation. Le sentant prêt, elle se relève et s’accoude sur le bureau, les fesses offertes. Il descend le string, et sans douceur s’enfonce en elle jusqu’à la garde. Il reste immobile, fiché en elle, la laissant profiter de sa présence au fond de sa matrice moite de désir. C’est elle qui donne le signal du départ de la cavalcade en roulant des hanches. Il se saisit d’elle par les fesses et commence à la pilonner par de grands coups de reins amples. Il la pénètre de toute sa longueur ; elle pousse un petit cri de plaisir chaque fois qu’il ...
... tape au fond de son vagin trempé. À ce rythme-là, il lui faut peu de temps pour atteindre le plaisir, et au terme de plusieurs coups plus chaotiques, il s’enfonce une dernière fois et se déverse en elle. Elle sent son épaisse semence la remplir ; les contractions de son dard expulsant le sperme la font jouir à son tour. Leurs cris se confondent, leurs souffles sont haletants, les corps sont tremblants. Il se dégage d’elle et se rassoit. Elle se relève, ramasse ses habits et quitte la pièce pour rejoindre son étage. * * * Et puis, le soir est tombé, les convives sont partis. Seul le cousin est resté ; il habite loin et vit seul. Il dort à la maison et repart le lendemain matin. Il est dans la salle de bain, se préparant pour la nuit. Elle, dans sa chambre, retire tous ses habits, les plie soigneusement avant de les poser sur sa chaise, puis elle sort de la pièce et se dirige vers la salle de bain. Elle ouvre la porte, nue. Le cousin la voit dans le miroir et se retourne vivement ; sa cousine est une belle femme, avec des seins fermes aux pointes tendues, un ventre lisse, une toison fournie mais bien taillée. Il a du mal à regarder son visage, subjugué par sa beauté. Elle se colle à lui, se frotte contre son torse puissant. Elle glisse une main dans le bas du pyjama et flatte la verge encore molle. Elle caresse les bourses lourdes et insinue même un doigt entre les fesses. Le sexe du cousin a pris des proportions impressionnantes. Elle le prend en main et le décalotte. Une goutte ...