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Histoires sans paroles
Datte: 06/03/2021, Catégories: f, fh, hplusag, jeunes, Inceste / Tabou Collègues / Travail profélève, école, Masturbation intermast, Oral pénétratio, fsodo, portrait, amourcach, Voyeur / Exhib / Nudisme
... pointe sur le méat dilaté. Elle le prend en bouche et le lubrifie de salive, puis elle se tourne, prend appui sur le lavabo, et d’une main écarte ses fesses. Ainsi offerte, il comprend le désir de sa cousine. Il suce son index et l’introduit dans le petit orifice. Voyant que le doigt coulisse aisément, il pose son gland à l’entrée de l’anus et dilate lentement le trou en poussant. Peu à peu, les muscles se détendent et le gland s’enfonce. Elle s’accroche au lavabo pendant qu’il progresse centimètre après centimètre. Enfin, il est en elle. Elle sent son pieu de chair dilater ses entrailles et ses testicules coller ses lèvres. Le cousin se retient à grand peine pour ne pas jouir précipitamment, mais les palpitations venues de la plus profonde intimité de sa nièce ont raison de lui, et sans avoir esquissé le moindre mouvement il la remplit de son foutre chaud. Elle sent le liquide couler en elle, l’inonder, tapisser ses parois intestinales. Elle jouit à son tour car elle joue de ses doigts sur son clitoris. Essoufflé et un peu penaud, le cousin quitte lentement la caverne étroite de sa nièce qui se retourne, lui donne une bise sur la joue et retourne dans sa chambre. ____________________ Je suis dans ma chambre ; je me réveille de mon fantasme de lycéenne. Je suis dans ma chambre ; je sors de mon rêve de collaboratrice d’entreprise. Je suis dans ma chambre ; j’abandonne mes envies de cousine. Toi, mon camarade de classe qui connais maintenant mes fantasmes les plus cachés, oseras-tu m’aborder et me parler malgré mon apparent attachement exclusif à ma scolarité ? Toi, mon collègue de boulot qui découvres mes rêves débridés, te décideras-tu à engager la conversation malgré mon apparente froideur et ma rigueur professionnelle ? Toi, mon cousin qui sais mes envies les plus viles, t’adresseras-tu à moi comme à une femme malgré mon apparente rigidité et ma mauvaise humeur de façade ? Venez vite, Messieurs, je vous attends…