1. Culinaire


    Datte: 06/03/2021, Catégories: fh, fdomine, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme ffontaine, facial, fsodo, hdanus, exercice, couple,

    Une salade, plutôt qu’une compote… Ou mieux encore : un assortiment de fruits entiers. Savourer chaque pièce des fruits et des légumes dont tu es faite. Toucher ce qui est rugueux, lécher ce qui est lisse… Boire, sucer les jus entre le tiède et le frais. Pas tout d’un coup : comme dans la cuisine orientale, il faut que cela forme une progression. Je te dévore d’abord par le regard. Tu es nue, et toute entière dans chacune des parcelles de ton corps. Mais ça y est, je n’y tiens plus : je frotte mes lèvres sur la tige de céleri de ton cou. Je sens, je touche de la bouche. Ma main salue la rondeur de ton genou plié. Rond et opaque comme une pomme. Bien sûr, nous sommes pressés. Comme des impatients, pas comme des oranges… C’est d’autant plus délicieux de prendre le chemin de ton pied, qu’indique le salsifis de ton tibia : ma bouche ne tarde pas à rejoindre la main, mais quand elle y arrive, elle a atteint la cheville, qui inaugure la zone compliquée et délicieuse du pied. Les goûts salés des profondeurs, pleins de surprises et de recoins. Comme un crabe : des trésors de pattes et de cartilages. J’explore de la langue, je gratte les recoins et les plis. Pas d’affolement : ma bouche revient à mon projet initial : s’abreuver de la pastèque qu’est ton sourire. M’en rafraîchir en y goûtant, mais aussi m’y baigner : j’aime comme tu me dégustes aussi. Te voilà qui me mordilles le mamelon comme une câpre. Je me plonge avec délices dans tes intentions directes. Je riposte en croquant à ...
    ... pleine dents l’abricot de ton épaule. Pas le temps de suivre les lianes de tes bras. Je suis un paresseux, qui s’accroche à ton buste comme à une branche. Mes mains ont naturellement trouvé le moelleux de tes fesses. Ma langue fouille ton nombril. Je le suce en détail comme une coquille d’escargot. Mais c’est pour te donner envie de la sentir sur ton sexe. Pendant ce temps, tu es allée au fond des choses : tes doigts ont quitté le sillon de mes fesses. Ils pensaient s’en échapper en passant par le trou qu’ils y ont trouvé. Tant pis pour toi : je mords la chair te tes cuisses, en rafraîchissant mon visage de temps en temps sur la laitue persillée qu’elles entourent. Ooohh !… J’ai arrosé ton visage adorable, tes lèvres délicieuses, tes joues sont à la chantilly. Mais c’est moi qui ai les fraises. Je te sens laper soigneusement mon sexe collant d’émotion, pendant que je me régale de tes plis trempés au goût acide. Maintenant tu peux t’abandonner au plaisir de ma langue sur ton haricot. Encore un moment, le plaisir de sentir la sauce qui monte, et… il explose. … En fait, c’était une sèche. J’ai le nez barbouillé de ton plaisir. Ultime effort, pour s’endormir bouche contre bouche. Odorants, gluants, comblés. Dans la nuit, sans bouger, nous ouvrons les yeux en même temps : encore faim de toi, tout de suite, toute crue. Pas de tergiversations, pas besoin d’explications. Notre peau a séché, mais pas l’envie. Odeur salée. Foutres mélangés, croustillants. Envie de plats odorants. Je ...
«123»