Culinaire
Datte: 06/03/2021,
Catégories:
fh,
fdomine,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
ffontaine,
facial,
fsodo,
hdanus,
exercice,
couple,
... mords ta main, mes dents menacent de croquer le doigt que je suce. Il faut dire que ton autre main est allée sans ménagements forcer le trou qui est entre mes fesses. Ton effet de surprise est réussi. Le temps d’une respiration, Je suis tout entier autour de tes deux doigts qui m’ouvrent. C’est l’heure canaille des fish’n chips, celle où on va tout de suite au goût du poisson, excité par l’odeur du vinaigre. Nous roulons en-dehors du lit. Je t’attrape en dehors des clous. Mes doigts plaquent tes poignets sur le lit, et je te prends en levrette. Tu étais chaude. Tu es prise jusqu’au fond, je te mords la nuque. Je prends tes doigts sales dans ma bouche, et te regarde en donnant des coups de reins. Ton air de défi satisfait m’enrage. J’attrape tes cheveux pour frotter mon sexe sur ton visage. Je me branle avec ta bouche grande ouverte. Ta salive déborde, et pourtant l’ambiance est sèche. Ou plutôt : comme quand il pleut après longtemps, le paysage sent fort aux premières gouttes. Notre premier sommeil avait fait office de beau temps, et voici l’orage. On n’en a pas fini avec la cuisine anglaise. Je te lève pour dévorer ta bouche comme la croûte de chapelure. Je mords tes joues comme des frites. J’aménage la recette à ma façon : comme on frotte une gousse d’ail sur un gigot, mon gland parfume ton visage en détail, même tes yeux. Content de ma nouvelle recette, je ponctue par un baiser chaud à ta bouche. Je suis transporté par la fraîcheur douce de ta langue, et tu prends alors ...
... les choses en main. Tu me renverses à nouveau sur le lit. Cette fois tu vas droit au but, et tu t’empales sur mon pieu. Tu te caresses en montant et descendant. Tes yeux plantés dans les miens me maintiennent mieux que tes mains autour de mon cou. La tendresse de ton regard porte une menace perverse. Tu te fais technique. Tu remontes la gaine chaude de ta chatte jusqu’à en sortir ma bite. Puis, tes yeux dans les miens, tu laisses couler de la bave dans le creux de ta main. Dans un geste professionnel, tu me lubrifies la tige. Ton regard, qui était si attentif aux détails de la préparation, part maintenant vers l’intérieur de tes sensations : tu remplis doucement ton cul. Tu y enfonces cet objet lubrifié. Une fois au fond, tu arrêtes le temps. Je sens ton anneau serrer lentement, de plus en plus fort, puis se relâcher tout aussi progressivement. Et tu recommences. Une fois, deux fois. Revoilà maintenant ton regard. Je vois dans tes yeux l’attention avec laquelle tu t’assures que je t’ai suivi dans la stratosphère. J’y vois aussi l’intention du vice explicite que tu y mets. Tout cela nous a bien réveillés. Le regard peut maintenant participer à la dégustation. Très doucement, ton torse se bombe. Dominante, tu te branles en utilisant mon corps. Ton bras va jusqu’à la table de nuit. Subjugué, je suis tes yeux. Tes narines disent ton désir animal d’être une pute. Tu fouilles méthodiquement dans ton sac à main. Tu en extrais un tube de rouges à lèvres. Je ne m’attendais pas à ça. ...