1. Grandeur et Décadence (Partie II)


    Datte: 07/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    -- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS -- Je suis tirée de ma torpeur par une vive douleur à la poitrine. J'entrouvre les yeux avec beaucoup de peine pour voir mon ravisseur penché sur moi, affairé à me tordre les tétons en me répétant : " - Allez allez, du nerf, on se réveille !" Encore à demi assoupie, je balbutie quelques mots visiblement insensés qui font rire l'homme. Puis je prends conscience de la situation, je me rappelle de tout : mes prisonniers se sont rebellés, c'est désormais moi qui suis captive, ils m'ont baisée sauvagement tous les deux... Quand était-ce ? Combien de temps ai-je été à demi inconsciente ? Pas longtemps visiblement, il fait encore jour. Je me rappelle du voisin, à sa fenêtre, en train de se branler en me matant, je baisse les yeux et vois mes seins, couverts de sperme séché. Je suis prise de panique. Mon ancien prisonnier me prend sans difficulté et me charge sur ses épaules musculeuses comme si j'étais une brindille. Il m'entraîne jusqu'à la grande cabine de douche dans laquelle se trouve déjà son comparse et tous deux m'attachent au dispositif que j'y avais moi-même installé afin de pouvoir donner leur toilette à mes esclaves : il s'agit d'un jeu d'anneaux disposés à divers endroits de la cabine, qui permettent de lier les membres de la victime dans un grand nombre de positions différentes à l'aide de bracelets en acier inoxydable accrochés aux poignets et aux chevilles ainsi que d'un collier serré autour du cou. Mes bourreaux ont choisi ...
    ... de simplement lier mes poignets entre eux et de les attacher au dessus de ma tête à un anneau fixé sur le plafond, de sorte que mes pieds peuvent à peine se poser complètement au sol. J'aimais à les voir ainsi attachés, impuissants, et à laver moi-même leurs corps athlétiques, à me frotter à eux. Aujourd'hui c'est moi qui suis attachée à ce dispositif, et comble de l'ironie : c'est eux qui me lavent le corps. Ils ne se gênent pas pour nettoyer bien en profondeur, ils en profitent d'ailleurs pour me tripoter dans tous les sens. L'un devant, l'autre derrière, je suis prisonnière de leurs corps, compressée entre leurs muscles saillants. Finalement, il n'est même plus question de faire ma toilette, on m'empoigne les fesses pour les écarter. Je sens un sexe s'aventurer avec témérité sur mon trou du cul. Il me titille, son gland caresse mon orifice, tantôt forçant, tantôt suivant simplement la piste de ma raie, mais sans jamais s'insérer complètement. Je frétille, je ne tiens plus. Ce déluge de mains baladeuses, de muscles, et de sexes dressés me pousse à bout. J'exalte de désir, j'en couine. Mes tétons tendus et durcis par l'excitation sont écrasés contre le torse qui est devant moi. Pourtant, celui qui est derrière ne se décide toujours pas à me prendre, il fait durer son plaisir à lui. Je ne suis plus maîtresse de moi-même, j'essaie de ruser, de reculer le derrière lorsque son gland arrive au seuil de mon orifice, afin de m'empaler moi même sur son sexe turgescent, renonçant à ...
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