1. Grandeur et Décadence (Partie II)


    Datte: 07/03/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... muraux, ce qui a pour effet de le maintenir droit, et du même coup de tirer sur mes tétons. Le cintre étant fixé à une distance assez courte du mur, je suis contrainte de bomber la poitrine et de cambrer mon dos pour avancer mes seins et éviter que les pinces ne les arrachent par manque de mou. Lorsqu'ils s'en vont, je les entends plaisanter dans le couloir : "- Excellent le coup de la pousser à bout avec ton gland. - Ouais, elle est vraiment folle du cul. - Je te parie qu'elle mouille encore à l'idée de se faire enculer." Ils ont dépassé le couloir et je n'entends plus ce qu'ils disent. Je me retrouve seule, nue, languissante, le corps humide et les seins tiraillés par ces pinces trop serrées. Le pire c'est qu'ils ont tout à fait raison : je mouille complètement à l'idée de me faire enculer. Mon esprit est obnubilé par ce gland qui jouait avec mon trou, et avec mes nerfs. Je brûle, je n'arrive plus à penser à autre chose. Et pourtant, ils m'ont bel et bien abandonnée là. ____ Lorsqu'ils reviennent enfin, ma peau a séché, mais pas mon sexe. La douleur des pinces a disparu, ne laissant derrière elle que le plaisir intense qu'elles me procurent. "Alors, tu as eu le temps de réfléchir à ce que tu as fait ?" lance l'un de mes tortionnaires. "Je ne sais pas si j'ai vraiment réussi à réfléchir, mais je serai extrêmement docile, c'est promis." "C'est très bien." répond l'autre en effectuant de légères pressions du bout de l'index sur la corde qui tient le cintre pour mesurer mon ...
    ... tourment. Chaque pression m'arrache un cri de douleur aigu. Il tire la corde vers le haut, il la pousse vers le bas. Il me torture en riant. Je répète mécaniquement : "Je serai très, très docile..." Finalement, il commence à détacher le nœud qui liait la corde qui liait le cintre à l'anneau mural. Le processus de dénouement fait bouger le cintre, ce qui stimule d'autant plus la torture. Je gémis, deux petites larmes timides coulent au coin de mes yeux. Puis, le nœud cède, et le cintre tombe. Son poids entraine mes seins dans sa chute en un bouquet final du supplice. Je hurle de douleur. Enfin, on me détache, et je tombe à genoux. "Allez la miss, on va se coucher !" L'un de mes tortionnaires me lève et ils m'escortent jusqu'à ma chambre, si je peux encore appeler ça ma chambre. "Tu vas dormir entre nous. Tu ne seras pas attachée. Tu verras, si tu te comportes bien avec nous et que tu es bien docile, nous te traiterons bien. Sûrement mieux que tu ne nous a traités par le passé : nous ne sommes pas si rancuniers que ça." Je marmonne "Merci beaucoup. Je ferai de mon mieux pour vous satisfaire et je serai docile, je vous le jure." Je m'abaisse à les remercier de me laisser dormir sans m'attacher. Et je rejoins le Maître qui est déjà allongé nu dans le lit. Le deuxième nous rejoint, et ils se collent tous deux à moi, puis l'un deux me demande : "Tu n'as pas oublié quelque chose ? Tu ne nous embrasses pas pour nous souhaiter une bonne nuit ?" Je lui réponds timidement "Désolée." puis ...