1. Seule à l'usine


    Datte: 30/10/2017, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, contrainte, revede, BDSM / Fétichisme Oral yeuxbandés,

    Je suis seule. C’est la pause et les filles se sont absentées pour aller déjeuner. Assise au bureau de Marc qui vient tout juste de partir, je corrige (encore) ses erreurs en attendant Éric qui doit m’emmener chez Mc Do. Attentive à mon travail, je n’entends que le silence qui enveloppe l’usine. Cette absence de bruits me permet d’être plus concentrée et c’est avec aisance et facilité que je rature et rectifie les habituelles bêtises de mon collègue. Je veux finir afin de partir l’esprit tranquille. Je m’applique donc et ne prête pas attention à ce qui m’entoure… Je suis impatiente. Je regarde l’heure. Les filles sont parties depuis dix minutes et Éric ne devrait pas tarder. En tout cas c’est ce que souhaite mon ventre qui crie famine depuis cinq minutes et qui aimerait bien être rassasié. Je m’étire longuement. Mes doigts se tendent vers le plafond et je sens mes muscles se contracter sous l’effort. Un petit gémissement s’échappe de ma bouche lorsque mes bras retombent et que les muscles se relâchent. Je suis prête. Je souris en pensant au sandwich qui m’attend et j’éteins l’écran. Il y a une ombre derrière moi. Je sursaute… Je suis bloquée. On me serre d’un bras, ce qui m’interdit tout mouvement et une main empêche le moindre son de passer. Je devine une silhouette mais je ne suis pas certaine qu’il s’agisse d’Éric. Cela pourrait être une des filles qui me fait une farce ou bien Marc qui serait rentré plus vite que prévu et qui chercherait à me faire peur. En tout cas ...
    ... le stress causé par cette intrusion dans mon bureau me fait battre le cœur à tout rompre et mon souffle s’est accéléré. Je sens ma poitrine se soulever et par la même occasion le bras qui l’entoure. La main au bout de ce bras entoure le galbe de mon sein droit et l’épouse parfaitement à chaque respiration ; et comme mon souffle est court, elle est souvent à son contact. C’est une étrange sensation que je ressens. Car cette main inconnue qui enserre mon sein doit m’inspirer de la crainte alors que c’est l’excitation qui envahit mon esprit. Je tente de me ressaisir quand soudain… en plus d’être immobile et muette je me retrouve aveugle. Je suis abasourdie. Sa promptitude à m’aveugler et à me lier les poignets au fauteuil m’a surprise et mon absence de réaction lui a été profitable. Me voilà prise au piège. Je pourrais lui dire d’arrêter, lui demander des explications ou plus simplement hurler « au secours » mais lorsque je vais pour parler, un doigt se pose sur mes lèvres et m’incite au silence. Et alors que mon cœur avait repris sa marche folle au rythme de tambours endiablés, ce doigt posé sur ma bouche a pour effet de l’apaiser et je me sens plus calme d’un coup. Sa main quitte mes lèvres sèches et remonte le long de mon visage. Ses doigts se font légers sur mes joues et c’est avec délicatesse qu’il les passe dans mes cheveux. Je me surprends à sourire. Je suis sereine. J’en deviens curieuse. Je suis attentive. Mes oreilles sont à l’affût du moindre bruit et je perçois des ...
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