1. Seule à l'usine


    Datte: 30/10/2017, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, contrainte, revede, BDSM / Fétichisme Oral yeuxbandés,

    ... mouvements près de moi. Il s’éloigne. J’entends ces pas qui se dirigent vers la porte. Elle se ferme. Est-ce ma réaction à son toucher qui lui a fait peur ? Est-ce que les filles ont fini leur pause déjeuner ? A-t-il entendu du bruit qui m’aurait échappé ? Est-il toujours là ? C’est autant de questions qui se bousculent dans ma tête et je m’aperçois avec étonnement que la frustration prime. Car je ne veux pas que ça s’arrête. Je veux sentir ses doigts sur mes seins et son souffle dans mes cheveux. Je veux sa bouche et… Je sens une lame sur ma peau. Je suis découverte. Je sens l’air frais sur ma peau et c’est pourtant la chaleur qui envahit mon corps. Une douce quiétude me submerge et c’est en toute confiance que je laisse cet homme me déshabiller. Au moment où il écartait mon débardeur, j’ai repensé à mon ventre abîmé par mes grossesses successives et puis ses doigts l’ont caressé avec amour ; alors j’ai su que je pouvais lui offrir, sans honte, mon corps de femme devenu celui d’une mère. Ces mains sont toujours en mouvement, tantôt caressant mon ventre, tantôt effleurant mes tétons dressés sous la fine dentelle de mon soutien-gorge, Elles vont et viennent sur mon corps et m’envoient mille décharges électriques. Je suis sous tension et mon cœur se met à battre la chamade lorsqu’il pose une main sur le premier bouton de mon pantalon. Je suis son offrande. Domptée et soumise à ses désirs je ne suis plus qu’une poupée entre ses mains. Je n’ai pas réagi quand il a découpé mon ...
    ... débardeur et je me suis laissé faire quand il a fait glisser mon jean sur mes jambes. J’ai bien conscience de ma position et je n’ai plus grand-chose sur moi pour me convaincre du contraire et, je dois l’avouer, je crois que je n’essaye même pas. Car j’aime être sa chose. J’ai adoré me faire aveugler et me retrouver les poings liés. J’ai vibré quand j’ai senti son souffle chaud sur ma nuque et sa bouche sur mes lèvres. Mon corps le réclame. Je le sens à travers mes seins durcis de désir et mes tétons gonflés, qui ne veulent qu’être aspirés et sucés. Je le sens à travers ma chatte humide et chaude qui, tel un liquide en fusion, coule entre mes cuisses. Je le ressens au plus profond de moi. Je la veux, « Elle », sa queue. Je la veux dans ma bouche pour connaître son goût. Je la veux entre mes seins pour évaluer sa vigueur, je la veux dans ma main pour jauger de sa valeur, je la veux entre mes lèvres charnues et accueillantes pour hurler mon plaisir. Je la veux pour moi… et lui ! Perdue dans mes folles pensées, je n’entends pas les ciseaux se fermer. Je suis excitée. J’ai senti les ciseaux se poser et découper mon soutien-gorge. J’ai apprécié le relâchement de mes seins quand enfin il les a libérés du carcan qui les étouffait. Je n’attendais que ça : me dévoiler à son regard ! Qu’il découvre ma poitrine et juge de l’effet qu’il a sur moi ! Car je ne peux plus me mentir, je suis impatiente de m’offrir à lui. Je veux le récompenser de m’avoir fait découvrir un désir que je ne ...