Tante Jacky dans la grange
Datte: 08/03/2021,
Catégories:
h,
fh,
extracon,
alliance,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
pénétratio,
amourcach,
prememois,
... entr’aperçus. Il faut dire ici que nous étions au tout début des années soixante et que les robes décolletées étaient rarissimes. La religion moraliste qui prévalait à cette époque ne permettait pas ces robes courtes et décolletées. Vous croyez que j’exagère ? Alors sachez que dans leurs sermons, à la messe du dimanche, les curés annonçaient en grande pompe qu’il était péché mortel pour une femme de sortir de sa maison en maillot de bain et s’exposer ainsi aux regards des hommes. Mieux encore : lorsque les premiers shorts pour filles sont sortis, j’ai vu, de mes yeux vu, un curé empêtré dans sa soutane noire courir sur le trottoir après deux fillettes d’à peine dix ans qui avaient eu la malencontreuse idée de se rendre en short au magasin général du village où j’habitais. Imaginez le scandale ! Il leur criait à tue-tête : — Filles de Satan ! Allez vous rhabiller et venez demain vous confesser pour votre péché mortel ! Je vous laisse alors imaginer la différence qui prévalait sur la ferme de mon oncle avec ma tante et ses jolis décolletés, ses robes courtes qui dévoilaient tout le genou et parfois, si le hasard aidait, une partie d’une jolie cuisse toute dorée et sensuelle. Heureusement qu’ils possédaient une ferme située dans un rang éloigné du village et surtout loin des voisins, sinon ils auraient sûrement été en proie à des menaces d’excommunication. Pendant la période des foins, le soleil se fit maître de la campagne, si bien que les vingt-deux charrettes de foin ...
... requises pour les trente vaches de mon oncle furent vite engrangées. À chaque voyage, alors que nous approchions de la grange, ma tante Jacky sortait de la maison et s’approchait en empruntant une démarche d’adolescente enjouée, avec un grand pot d’une limonade de sa confection pour nous désaltérer. Sur le voyage de foin, du haut de la charrette, je pouvais alors avoir une vue parfaite sur ses seins. Diable, ce que la limonade était bonne et quels bandages superbes elle provoquait en moi, ma foi ! C’en était presque péché. Tante Jacky réalisa rapidement que je ne manquais pas une occasion de plonger mon regard vers son décolleté, mais ne m’en fit jamais reproche, si ce n’est un regard aux sourcils froncés, comme pour me dire : — Vincent, il ne faut pas faire cela. Ce n’est pas bien. ~~ooOoo~~ Les foins étaient terminés depuis quelques jours et, par un beau matin ensoleillé, pendant le petit déjeuner, l’oncle Paul quitta la table précipitamment et s’en fut à la fenêtre de la cuisine pour contempler à nouveau l’objet de sa fierté nouvelle : sa grange-étable. La fenêtre du pignon de la grange avait été enlevée pour permettre une meilleure circulation de l’air. Ceci permettait au foin de sécher davantage et évitait qu’il ne chauffe et ne se perde ainsi. Ce matin-là particulièrement, ce qui attirait mon oncle Paul à la fenêtre de la cuisine, ce n’était pas tellement la fierté que lui inspirait sa nouvelle grange, mais bel et bien les maudits pigeons des voisins qui, trouvant cette ...