Tante Jacky dans la grange
Datte: 08/03/2021,
Catégories:
h,
fh,
extracon,
alliance,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
pénétratio,
amourcach,
prememois,
... Il sifflota sur un ton admiratif. Je bondis de surprise, réalisant que je ne l’avais pas entendu arriver. Il venait de siffler vers ma tante comme ces coups de sifflets que l’on lance stupidement aux jolies filles. Je me sentis insulté d’une telle grossièreté. Pour comble, il cria à tante Jacky : — Tiens, tu en as mis une blanche ce matin. Tante Jacky, qui pas plus que moi n’avait entendu arriver l’oncle Jacob, fut surprise car, juste à ce moment là, elle enjambait la poutre de retenue et avait déjà posé un pied sur les marches de l’échelle pour descendre. Sa robe s’était largement déployée si bien que Jacob, profitant de la situation, se trouvant au pied de l’échelle, pouvait allégrement voir sa petite culotte. Elle lança un cri presque apeuré et, à peine revenue de sa surprise, cria sur un ton coléreux : — Aïe, Jacob, ne regarde pas sous ma robe ! Cela n’est pas bien, espèce de chenapan de vicieux. En guise de réponse, il éclata de rire à gorge déployée et, bien au contraire d’obtempérer à ses protestations et de cesser de regarder sous la robe de tante Jacky, il se rapprocha du bas de l’échelle, posant les mains sur une des marches et se plaça de manière à mieux voir encore. J’étais outré d’une telle impertinence et fut bien tenté de me servir de ma carabine à plombs pour lui décocher un plomb dans les fesses. Tante Jacky pencha la tête pour voir où il était rendu et l’aperçut au bas de l’échelle, tout sourire, qui lui regardait sans pudeur le postérieur. Elle se saisit ...
... du bas de sa robe d’une main et se drapa tant bien que mal avec le tissu. Le résultat fut que je pus voir une de ses jambes presque jusqu’au niveau du haut de la cuisse et, ma foi, je trouvai ce spectacle tout à fait sexy. Ce fut le déclenchement d’un solide bandage. Pendant ce temps, l’oncle Jacob, continuant à la regarder d’en-dessous, entreprit de lui chanter la pomme (1). — Jéricho, Jacky ! Ce que tu as de belles fesses toutes rebondies ! Et ces cuisses toutes blanches sont superbes, cela me fait bander, ma mignonne ! Je vais te les caresser. Allez, descends ici que je te pogne les fesses ! Je n’étais pas habitué à un tel langage, car l’oncle Jacob était le beau-frère de Jacky et jamais je n’aurais cru qu’il pousserait l’effronterie jusqu’à prononcer de tels mots à la jeune épouse de son frère. Jacky descendit encore une marche et sa robe tirée pour cacher ses dessous ne fit que remonter le long de ses belles jambes. Quant à l’oncle Jacob, il eut la chance de voir réapparaître la petite culotte qui semblait tant le fasciner. Horrifié, je constatai que mon oncle était en érection, juste à voir l’énorme bosse dans son pantalon lorsqu’il se tournait de côté. Il lui dit en riant : — Allez, fais vite, que je te l’enlève, cette petite culotte. Je veux te planter sur ce tas de foin que tu as fait descendre. Rien que de te voir comme cela par en dessous me fait bander bien raide. Approche, ma poulette, que je farcisse ta petite chatte avec ma grosse queue. Tante Jacky, hésitante, ...