1. Tante Jacky dans la grange


    Datte: 08/03/2021, Catégories: h, fh, extracon, alliance, campagne, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, amourcach, prememois,

    ... distinguer ce qu’il lui fit, mais tante Jacky émit un gémissement un peu étrange. — Ho ! Non, ne me touche pas là, Jacob. Ne fais pas cela, tu sais bien que cela me rend folle. Elle protestait, et pourtant je vis distinctement qu’elle se laissait descendre légèrement en continuant à écarter les cuisses. L’oncle Jacob se contenta de lui dire : — Descends juste une autre marche, je t’en prie. Je veux mieux caresser ta petite chatte. Je n’arrive pas à écarter l’élastique de ta petite culotte. À ma grande surprise, tante Jacky descendit encore une marche. Cette fois-ci, elle se trouvait définitivement bien à la portée de l’oncle Jacob, qui glissa la tête sous la robe de Jacky et remonta les mains en les faisant passer langoureusement tout au long des jambes jusqu’aux hanches de ma tante. Au travers des mouvements du tissu, je constatai qu’il guidait ses deux mains dans son entrejambe. Tante Jackie émit un soupir très long et renversa la tête en arrière, les yeux clos. Heureusement qu’elle avait les yeux clos, car à ce moment-là, m’étant soulevé un peu de ma cachette pour ne rien manquer, elle m’aurait sans contredit aperçu. Pendant au moins cinq bonnes minutes, Jacob sembla la tripoter bien à son aise et tante Jacky, les joues rouges, cramponnée à une marche, entreprit d’émettre des petits sons étranges, plus saccadés chaque fois qu’il touchait un point sensible à ce qu’il me semblait. Je ne pouvais voir ce qu’il lui faisait, le tissu de la robe me cachant le jeu de doigté qu’il ...
    ... exécutait avec une ardeur croissante, mais je compris que cela devait être drôlement agréable car tante Jacky se maintenait haletante, cramponnée à l’échelle en fermant les yeux. Pourtant, malgré le plaisir qu’elle semblait définitivement éprouver, elle ne cessait de lui dire : — Arrête, voyons, cela n’a pas de bon sens. Tu me rends folle. Il ne cessa pas du tout son agissement. Bien au contraire, il sembla redoubler d’efforts. Ses mains s’agitaient vivement et il lui couvrait les mollets et les cuisses de baisers. Et puis soudain, elle rouvrit les yeux bien grands comme saisie d’une forte décharge électrique. Son corps se crispa et elle émit un long gémissement, vibrant au même diapason que le plaisir croissant qui la submergeait. Par une chance inouïe, elle ne me vit pas, car sa tête était relevée vers le pignon de la grange, et elle supplia : — Ho ! Non. Tu sais bien que cela n’a pas de sens. C’est si bon et si cruel que je trompe mon mari ainsi. Arrête, je t’en supplie. Mon oncle agita sa main de plus belle. C’en fut trop. Tante Jacky, hors d’elle, referma ses cuisses sur la main de l’oncle Jacob et elle se plaqua contre l’échelle, en proie à un plaisir intense. Un long et profond gémissement presque animal retentit, emplissant l’intérieur de la grange, éloignant le silence et les chants d’oiseaux pour que ce son de femme en plein orgasme se fasse dominant. C’était un son à la fois sauvage et pur en même temps. Le son d’une femme auquel le plaisir fait tout oublier. Elle ...
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