LE PAPILLON (3) - Histoires de Sexe

LE PAPILLON (3)

... et rentrons ensemble à la maison. Sur le chemin nous en apprenons un peu plus. L’hiver à Courchevel, l’été en Grèce ou en Espagne, madame aime l’équitation et monsieur a un nouveau 4X4. « Moi aussi » réplique mon épouse….. Nous voici devant nos bungalows. Je me dirige vers Andrea et l’embrasse sur la joue. Elle me rend mon baiser en me faisant savoir que pour elle c’est deux minimums. Nous rions. Je jette un coup d’œil à ma femme, Adam l’embrasse lui aussi sur la joue. Il me semble qu’il s’attarde un petit peu plus longtemps au niveau de son oreille mais mes sens sont perturbés à cause de l’alcool. Nous nous serrons la main virilement et je sens une pression légère de son côté. J’imprime la même tout en le fixant sans ciller. De petites rides apparaissent au coin de ses yeux et sa bouche semble se moquer de moi. Nous relâchons notre étreinte et chacun part de son côté. Ma femme fait un petit geste de la main à leurs attentions et se retourne pour me faire face. Elle se hisse sur la pointe de ses pieds et me glisse à l’oreille « Je la veux dans mon cul… maintenant » Je suis sans voix et reste figé. Jamais ma femme n’avait demandé une chose pareille. Je lève les yeux et surprend le regard d’Adam dans notre direction. Je ne suis pas sûr de savoir qui il observait mais ses yeux tombent sur le mien. Mes yeux se plissent alors que je comprends qu’il est la raison de cette demande soudaine. Mon cœur bat la chamade. J’ai été aveugle à leurs manèges sous mes propres yeux et ni ma ...

... femme ni lui n’ont manifesté le moindre intérêt l’un pour l’autre. Alors que je suis perdu dans mes réflexions elle me saisit la main et m’emporte vers le petit chemin menant à notre maison. Elle sort sa clé et ouvre le bungalow. Je la suis de prêt. Je referme la porte derrière moi et nous voici plongée dans l’obscurité. Tout en marchant elle fait glisser les attaches qui retiennent sa tunique. Dans un mouvement délicat, comme une danse, je vois apparaitre devant moi son dos parfait. Au milieu de celui-ci se trouve une bande de tissu noire ou apparaissent deux attaches, la tunique glisse lentement de son dos et j’aperçois le haut de sa culotte. Elle a mis un ensemble soutien-gorge tanga noire en dentelle. Son cul est à damner un saint. La tunique n’est plus retenue que par sa taille. Alors qu’elle se plaque, écrasant sa poitrine sur le mur de béton blanc, je vois ses deux mains saisir les côtés de la tunique et les faire glisser le long de ses jambes. Elle tombe comme au ralenti découvrant des jambes fuselées et musclées à peine saisies par le soleil. Le Tanga s’est enfoncé dans son cul vers le bas de la culotte. Une fente apparait sur le haut de la dentelle. Elle a les mains sur la taille et dandine son cul comme une stripteaseuse « Tu les aimes mes fesses ? » Me dit-elle dans une imitation parfaite de Brigitte Bardot. « J’aime ton cul » je lui réponds. Je m’approche doucement d’elle. Son corps est brulant et elle semble être dans un état second. Mes mains enserrent ses épaules ...