L'existence d'un esclave de pied
Datte: 08/03/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... premières. Je fais partie de la première catégorie et toi de la seconde. Seuls mes plaisirs et mes désirs comptent. Le seul plaisir que je t’autorise à avoir c’est celui de me servir, de me supplier et d’attendre craintivement que mon fouet s’abatte sur tes fesses si tu me désobéis. Avoir mon pied dans la bouche doit être pour toi le comble de la jouissance. Et si ça ne l’est pas, je n’aurais qu’à te fouetter jusqu’à ce que cela le devienne. » Plusieurs dizaines de minutes s’écoulèrent avant que Sandra ne referme son livre. Ses pieds avaient séchés. L’esclave n’avait pas bougé. Elle lui tapota le front du bout des orteils. « Je commence à avoir faim. Je vais aller prendre une douche, pendant ce temps-là, mets la table et prépare le dîner. -Ne souhaiteriez-vous pas que je vous fasse couler un bain, Votre Grandeur ? -Non, répondit-elle d’un air ennuyé en écrasant négligemment la figure de son objet avec les deux pieds joints. Ce soir, je n’en ressens pas l’envie. » Elle se leva et se dirigea vers la salle de bain. Fox exécuta ses ordres instantanément, sans prêter attention à la sueur séchée qui maculait son visage et aux deux traces rouges de pied qui le traversaient de part en part. Vivre avec la forme des pieds de sa maîtresse sur le visage était un grand honneur pour un esclave, une marque d’appartenance physique. Lorsque Sandra sortit de la douche quelques minutes plus tard, trempée, son esclave l’attendait allongée au sol. Elle se servit de son corps comme d’un tapis de ...
... bain, sans lui prêter la moindre attention. Lorsqu’elle fut prête, vêtue d’une petite tenue en dentelle, elle descendit de son perchoir humain et alla s’installer à sa table, dans le salon. Fox la suivit, à quatre pattes, et lorsqu’elle fut assise, il alla chercher le repas, un plat fortement apétissant et fumant de poulet et de pommes de terre sautées saupoudrées d’herbes et d’épice, accompagné de divers fromages et d’un vin de grande qualité. Sandra s’en servit un verre et le dégusta lentement face à son esclave qui n’avait rien mangé de la journée –car Fox n’avait le droit de manger de la vraie nourriture uniquement le soir. Le matin, il se contentait de ce qu’il récoltait sur les pieds de sa maîtresse, à coups de langue- et qui contemplait le sol en salivant. Lorsque Sandra décida d’entamer son plat, elle ouvrit une boite de conserve remplie de raviolis froids et proches de la date de péremption et la vida dans une gamelle en plastique jaune qu’elle jeta sous la table. Elle y enfonça alors ses deux pieds, sous les yeux de l’esclave, et écrasa, broya les raviolis sous ses talons, les pressant entre ses orteils et touillant la nourriture avec ses pieds. Lorsqu’elle en fut satisfaite, sans même jeter un œil à son travail car elle était occupée à entamer son délicieux poulet, elle leva les pieds, les orteils grands écartés, et les présenta à Fox. « Nettoie, ordonna-t-elle sans même lever le ton. » Ceci n’était autre que le rituel alimentaire de l’esclave de pied. Tout aliment ...