1. Les machinations de Laure (5)


    Datte: 09/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... sommes pas d’accord. Je penche pour Laure. Mais au fond, qu’importe ? C’était un de ces soirs où aucune des filles n’avait ses règles. Ces soirées-là, nous restions tous les six entre nous, pour des débauches privées sans invités ni domestiques. Souvent nous tentions des expériences nouvelles, nous testions des sex-toys. Je me souviens : avec le temps, Malo avait apprécié de plus en plus ces soirées. Je ne me rappelle plus exactement les détails sexuels. En tout cas, ils ont surgi. Ils nous ont complètement surpris, Alain, Malo et moi. Nous les avions congédiés dans la matinée, comme chaque samedi, et pourtant nos domestiques étaient là, au grand complet. Fringués à la paramilitaire. Leurs matraques se sont abattues sur nos corps nus. J’ai instinctivement voulu défendre Laure. J’ai bondi vers elle. Mon jardinier m’a envoyé un poing magistral dans le flanc gauche. J’en ai eu le souffle coupé. Un instant après, il m’envoyait sa ranjo dans les parties. Je crois que je me suis évanoui de douleur. C’est sûr, à un moment, j’ai perdu connaissance. Quand je suis revenu à moi, j’étais dans le studio de montage attenant à notre atrium, comme nous avions fini par l’appeler. Notre lieu d’orgies souterrain, quoi. Alain sanglotait de douleur. Il saignait du nez. Malo râlait. Je pense qu’ils avaient dû lui fracturer une dent. Moi, j’étais perclus de douleurs. nmpnbbgq Nous étions tous trois assis sur une chaise, ligotés, entravés, menottés. Nous n’avions à première vue aucun moyen de ...
    ... sortir, ni d’appeler du secours, sauf via les ordinateurs disponibles sur le bureau, juste devant. C’est un peu plus tard, ce jour-là, en essayant d’alerter les secours par email, que je me suis aperçu que tous les mots de passe de mes comptes avaient été modifiés. Ça, j’en suis sûr, seule Laure a pu le faire. En tout cas, devant nous, de l’autre côté de la vitre sans tain, et répercuté sur les écrans des ordinateurs dans le studio, un spectacle inouï s’offrait à nous. Laure, Hello et Salomé s’en donnaient à cœur joie dans le jacuzzi, avec nos domestiques. Tous. Ces salopes. Elles mettaient en œuvre toutes leurs connaissances, toute leur expertise, toute leur perversité. Après des mois d’orgie presque quotidienne, nous avions perdu de vue la réalité de ce que nous faisions avec elles. Mais là, dans la douleur des coups, dans l’obscurité du studio, dans la violence des images qui s’imposaient à nos yeux, je crois que nous avons compris. Ce que nous voyions était... inconcevable. Littéralement. Quelque chose résiste dans l’esprit humain, face aux extrêmes. Quelque chose de fondamental, d’animal, de primal, même. Nos filles, nos sœurs, allaient jusqu’au bout. Jusqu’au fond de l’obscène et de l’indicible. Elles s’encourageaient les unes les autres. Emportés par leurs éclats de rire et leurs halètements de plaisir, les domestiques leur faisaient tout ce qu’elles demandaient. Tout, quoi. Vraiment tout. Nous sommes juste derrière le miroir, Alain, Malo et moi. Nous sommes réduits à les ...