Les machinations de Laure (5)
Datte: 09/03/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... regarder. Avec les jours, nous avons perdu toute notion du temps. Parfois, elles s’en vont et elles éteignent la lumière. Nous ne savons pas combien de temps. Des heures ? Des jours ? Mais elles reviennent toujours, avec leurs manières de mantes religieuses. Et nous, nous les regardons. Nous les regardons sans fin. Trois paires d’yeux scrutant dans le noir, le nez sur une vitre sans tain, tant de perversité et de débauches. Quand elles se souviennent de notre présence, c’est pire. Elles ne se privent jamais de venir nous rendre visite. Parfois pour nous faire jouir de la manière qui leur passe par la tête. Parfois pour nous maltraiter. Quand elles entrent dans le studio avec un ou plusieurs de nos ex-domestiques, nous savons que nous allons passer un sale quart d’heure. Ils nous frappent, chaque fois ; et elles, elles peuvent à la moindre envie nous pisser dessus, nous chier dessus, nous forcer à bouffer du foutre à même leurs chattes ou leurs culs. Elles n’hésitent jamais à nous humilier. Laure m’a dit une fois... Non, même cela, je ne peux pas l’écrire. Elles ...
... nous laissent sans soin des jours durant. Sans rien à manger. Nous attendons dans nos excréments qu’elles condescendent à nous nettoyer, à nous soulager, pendant qu’elles orgasment sans fin dans des débauches sans limite. J’ai vu ma fille, ma maîtresse, et la sœur d’un ami, chacune défoncée à un degré inouï, relâchant du foutre par tous les orifices. Je pleure en écrivant ces lignes. Je souffre à un point atroce, physiquement et mentalement. Sous mes yeux, à dix pas de moi, je vois les corps de ma maîtresse, de ma fille et de Salomé couverts de sperme en train de sécher, vautrés au milieu d’une dizaine de mecs qu’elles ont rendus complètement flasques. Elles ont réussi, une fois encore. Mais ils sont vigoureux comme des percherons, ces salopards qui nous torturent depuis des semaines. Tout à l’heure, ils auront faim, ou alors l’un d’entre eux se mettra à bander dans son sommeil. Et quand ils s’éveilleront... Aidez-nous, au nom de Dieu ! Ils vont nous tuer si... Ils s’ébrouent, ils vont se lever... Juste le temps de presser « envoyer cette histoire »... A l’aide