1. Premier gage de soumission


    Datte: 09/03/2021, Catégories: ff, jeunes, fépilée, vacances, plage, ascenseur, hotel, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, rasage, ecriv_f,

    ... Cela alla si vite qu’Isabelle n’eut pas le temps de réagir quand Sylvie lui souleva sa courte jupe sur les hanches. — Tiens-la moi comme cela, dit Sylvie en vitesse Isabelle obéit perplexe. Sylvie attrapa les bords supérieurs du slip de coton d’Isabelle et l’abaissa d’un mouvement brusque. — Allons soulève tes jambes ! Ce soir, tu n’en as pas besoin, dit-elle doucement, mais fermement. Isabelle ne put qu’obéir et Sylvie envoya la petite culotte valser sur le lit d’un geste élégant. — Mais, Sylvie, ma jupe est si courte, je…, marmonna Isabelle atterrée. Sylvie entoura les fesses d’Isabelle qui, dans sa surprise, tenait toujours sa jupe relevée sur ses hanches et la serra contre elle. Elle avait le sexe rasé d’Isabelle à la hauteur des yeux. Doucement, elle déposa un baiser sur les grandes lèvres toujours parfumées d’huile et glissa sa langue dans la fente d’Isabelle. Puis elle se releva d’un bond et regarda Isabelle droit dans les yeux : — Mais je veux que tu sois nue sous ta jupe. Le fait que nous le sachions toutes les deux pimentera notre souper ! Allez viens ! Il ne restait plus à Isabelle qu’à s’abandonner à son destin. Sylvie prit la main d’Isabelle et la tira hors de la chambre, dans le couloir de l’hôtel, alors que cette dernière sentait que son cœur allait lui sortir par le cou. Evidemment, l’ascenseur n’était pas là et elles durent attendre. Côte à côte, elles se tenaient devant la porte fermée et suivaient les lampes indicatrices d’étage qui montaient lentement ...
    ... depuis le rez-de-chaussée. Sylvie jeta regard des deux côtés du couloir. Pas âme qui vive en vue. Comme incidemment, elle fit glisser sa main droite sur la fesse gauche d’Isabelle seulement couverte de sa courte jupe. Sous le fin tissu, elle sentait la chaleur du corps d’Isabelle. Celle-ci inspira bruyamment et jeta un regard à son amie qui oscillait entre insécurité et excitation d’une façon si comique que Sylvie dut s’esclaffer d’amusement, presque bruyamment. Après un autre coup d’œil aux alentours Sylvie se montra plus audacieuse : d’un vif mouvement elle releva la jupe d’Isabelle et glissa sa main dessous. Isabelle sentit une bouffée de chaleur l’envahir; elle ne pouvait presque plus s’opposer à l’assaut des sens qui l’envahissaient. Respirant de façon saccadée, elle se balançait sur ses hanches en sentant le bout des doigts de Sylvie parcourir doucement sa peau nue et finalement atteindre sa fente déjà un peu humide. C’est alors qu’une porte claqua. Le cœur d’Isabelle s’arrêta brusquement ; mais Sylvie fut rapide. Le client, un nouveau, encore pâle, d’âge moyen qui passa rapidement près d’elles et disparut dans la cage d’escalier d’en face, ne vit que deux jeunes demoiselles qui ne lui accordèrent qu’un regard fugitif et qui attendaient visiblement l’ascenseur. Les filles se regardaient, le souffle coupé, mais les yeux brillants, lorsqu’un discret « Bing » signala l’arrivée de l’ascenseur. — J’y crois pas ! murmura Isabelle entre ses dents, quand Sylvie lui fit un tendre ...
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