Premier gage de soumission
Datte: 09/03/2021,
Catégories:
ff,
jeunes,
fépilée,
vacances,
plage,
ascenseur,
hotel,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
rasage,
ecriv_f,
... -, mais l’un de tes slips habituels. Et lorsque nous rentrerons ce soir, je veux que tous nos chers voisins de plage sachent que tu n’as plus de toison. J’exige que tu le fasses ! Isabelle se libéra déconcertée et se dirigea vers l’ascenseur en prenant douloureusement conscience de sa totale nudité sous sa robe légère. Sur le chemin de la chambre, elle rencontra la femme de chambre. C’était vraiment tard aujourd’hui ; effectivement les chambres de leur partie du couloir avaient déjà été faites. La femme de chambre, à peu près de son âge parut gênée et lui lança un regard qu’elle ne sut pas interpréter. Isabelle entra dans la chambre et ferma la porte. Oui, la chambre avait bien été faite. Elle se dirigea vers le fauteuil pour prendre son sac qui y était posé. Alors que son regard rencontra la petite table d’appoint à côté de la porte-fenêtre de la terrasse, elle se figea. Là se trouvaient comme par hasard deux des photos que Sylvie avait faites d’elle avant-hier à la plage et qui la montraient debout, riant et nue dans les vagues. La brise légère et chaude emportait ses longs cheveux que l’humidité bouclait davantage par-dessus ses épaules et des gouttes d’eau scintillantes brillaient dans son épaisse toison brune. Juste à côté, et cela coupa presque le souffle d’Isabelle, étaient disposées les cinq polaroids que Sylvie avait tirés d’elle hier et sur lesquels elle posait nue et fraîchement épilée dans cette chambre, sur ce lit. Sylvie les avait pourtant mises hier dans son ...
... cartable… Elle avait dû les regarder de nouveau ce matin, avant de descendre petit-déjeuner et le avoir ensuite oubliées là. Isabelle regarda le lit refait. La femme de chambre ! Bien sûr, voilà pourquoi ce regard étrange. La femme de chambre venait de faire le ménage et avait évidemment vu les photos… et l’avait bien sûr reconnue. Elle aurait voulu disparaître sous terre. Oh, merde ! Comment Sylvie avait-elle pu être aussi négligente ? Isabelle sentait son cœur battre dans son cou. D’abord cette scène en bas, au restaurant, et maintenant les photos ! Hébétée, elle alla à la salle de bains se passer de l’eau sur le visage pour reprendre ses esprits. Là aussi tout était propre et net. Juste avant d’arriver au lavabo, elle vit ! C’était cette petite boîte en plastique avec un couvercle, transparente, un peu plus petite qu’un verre, dont Sylvie voulait en fait se servir pour ramener un échantillon de sable de la plage. C’était le seul objet posé sur la petite étagère, juste sous le petit placard à miroir. Une petite étiquette y était scotchée et où elle reconnut la jolie écriture de Sylvie : « Isabelle le 20/07/98 », la journée d’hier. La boîte était remplie presque à ras bord d’un tas de poils bouclés bruns : les propres poils de sa toison rasée hier ! Quand on regardait attentivement, on pouvait même voir çà et là des restes de mousse à raser… Il n’y avait plus aucun doute : Sylvie n’avait pas oublié les photos sur la table par inadvertance. Elle savait que le service de chambre ...