Le Monde perdu
Datte: 10/03/2021,
Catégories:
fffh,
frousses,
rousseurs,
inconnu,
sport,
volupté,
hsoumis,
intermast,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
sf,
... déjà caressé ce membre, embrassé la bouche masculine, mais là ils sortaient du contexte de travail habituel et cela l’excitait considérablement. Cachée par le dos de Balou, Alicia laissa ses doigts fins caresser la hampe à travers le tissu. — Tu aimes ? gémit-elle d’une voix rauque.— Oh oui ! Oh oui ! Ma Fée, oui, hummm, c’est trop bon ! Le risque d’être découverts, démasqués par Doris et ses hyènes, accroissait leur désir mutuel. Alicia était trempée comme jamais. Son désir ruisselait presque sur ses cuisses. Son orchidée réclamait son dû : BALOU ! Soudain elle sentit un, puis deux doigts caresser son mont de Vénus. Elle déchira sa culotte, se moquant des conséquences et elle s’empala prestement sur la main de Balou. Elle avait fermé les yeux. Balou la branlait délicieusement devant les gardiennes de Doris. Et ça, c’était déjà une belle victoire. Alicia se laissa aller à la jouissance, agenouillée sur la main de son coéquipier. Elle lâcha un feulement de fauve qui résonna de long instant dans l’enceinte du stadium. Balou avait toujours deux doigts en elle. Il se redressa et poussa délicatement Alicia sur le dos. Immédiatement, il s’agenouilla entre ses longues cuisses. Sa bouche, ses lèvres, sa langue, avaient irrésistiblement envie de boire, de lécher, le nectar de ce roux bonheur féminin. La toison presque transparente laissait voir des lèvres affamées, humides de désir. Doris aperçut au milieu du stadium, une grande jeune femme rousse, cuisses écartées qui recevait les ...
... hommages buccaux de son amant. Elle enrageait de se voir ainsi humiliée devant son corps d’élite, mais elle ne pouvait agir dans l’instant. Elle laissa le couple continuer à se donner du plaisir, sachant que l’homme ne devait pas éjaculer. « Il en aura un beau paquet pour moi, ce soir… » songea Doris. Alicia gémissait, allongée dans l’herbe, offerte à la bouche de Balou. Sa langue chaude s’insinuait bien loin en elle. Ensuite, elle virevoltait, comme animée d’une vie propre. Son bouton léché, caressé, pincé, irradiait également son ventre d’un merveilleux bonheur. — Viens, viens, geignit-elle. Cela fait si longtemps que je n’ai pas eu une belle queue en moi. Oh, viens vite, mon beau ! Balou se redressa. Maintenant il embrassait le ventre plat et chaud, sa langue titilla le nombril. Elle remonta vers les petits seins en forme de pomme, dont les bouts roses dardaient vers le ciel. Cette jeune femme rousse à la peau légèrement ambrée le rendait fou de désir. Il savait que Doris les observait. Il savait aussi qu’il ne devait éjaculer sous aucun prétexte, du moins pas devant les gardiennes, en public de surcroît. — Alicia, tu sais bien que je ne peux pas te pénétrer, je risque de ne pas pouvoir me retenir.— Si, tu peux te retenir, je le sais. Donne-moi juste quelques jolis coups de reins pour que mon minou jouisse ! Vite, vite je te veux, cria-t-elle. Les gardiennes s’étaient rapprochées de « la scène du crime », prêtes à intervenir si la situation dérapait. Devant ses écrans de ...