Le Monde perdu
Datte: 10/03/2021,
Catégories:
fffh,
frousses,
rousseurs,
inconnu,
sport,
volupté,
hsoumis,
intermast,
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
sf,
... pénétrations, trop d’éjaculations certainement aussi. Ce matin, la nostalgie entourait Balou. Il n’avait jamais plus revu Maglou, la petite amazone brune. De leur union, il savait que deux jumelles étaient nées. Doris le lui avait annoncé discrètement à la faveur d’une étreinte furtive. Au fil du temps, la directrice du centre de traite et Balou, étaient devenus amis, puis amants dans la clandestinité. Doris avait découvert l’amour, ce sentiment indescriptible, entre les bras de Balou. C’est du moins ce qu’elle lui avait dit. Lui pensait le contraire : un amant n’était-il pas une source inépuisable de sève, mise à disposition d’une bouche assoiffée ? Certes, à plus de deux cents cycles, Doris gardait un charme certain, même si le vieillissement en était ralenti. En fait, un tacite contrat les liait tous deux, l’une profitant de sa semence, l’autre des facilités de vie et des avantages locaux. Il n’était pas aisé pour les deux amants de se voir quotidiennement. Cependant, Doris tenait en son pouvoir le « clan des gardiennes de la divine semence ». Les jeunes femmes qui composaient cette unité d’élite lui étaient loyales et fidèles, Doris étant une des leurs. De plus, les réseaux parallèles, le barème des bakchichs, le troc et la valeur des services « rendus », engendraient mille et un avantages dont profitaient les gardiennes. Elles s’étaient approprié cette organisation lorsque leur leader avait gravi un échelon supplémentaire vers le pouvoir. Un trafic de sperme bien ...
... huilé faisait leur richesse, la logique voulait qu’elles en profitent également, étant reliées directement à la source de production. Doris était une femme à la peau très brune, ses soyeux cheveux noirs étaient coiffés à « l’andalouse » et tirés en arrière pour former un petit chignon, lui donnant un charme rétro absolument fou de danseuse de flamenco. La nuit dernière, elle avait littéralement martyrisé le dos de Balou de ses ongles rouge sang lorsque la jouissance avait déferlé en elle. Sa bouche aux lèvres rouges et pleines avait pourtant déjà aspiré une quantité de sève non négligeable, Balou étant prié de ne pas éjaculer en son ventre. Balou aimait Doris, certes à sa façon. Cette femme lui offrait un appartement où il pouvait circuler à sa guise dans le périmètre réservé aux hommes. Les gardiennes veillaient de leur côté au strict respect des consignes. D’accord, les femmes dirigeaient le Monde, mais pour autant que Balou puisse en juger, les hommes ne mouraient pas de faim. Ils étaient cantonnés dans des logements ressemblant à des blocs de dominos, « protégés » par les gardiennes. Ils étaient la richesse de la Reine Zara. Les hommes vivaient et mouraient dans ce lieu, à plusieurs par chambre. L’homosexualité, forcément, tenait sa place dans ces conditions. Les hommes à fort potentiel physique et endurant, fuyaient ces pratiques, afin de conserver leur énergie vitale. Mais certains mouraient de plaisir au centre de traite, malgré toutes les précautions que prenaient les ...