Marie-Reine
Datte: 30/10/2017,
Catégories:
ffh,
copains,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
Alors qu’elle me proposait d’aller dans sa chambre, je me dégonflai piteusement et indiquai à ma partenaire les raisons pour lesquelles je ne souhaitais pas poursuivre le rapprochement qui venait de s’opérer. Conscient de l’énormité de mon aveu, j’imaginais une vive réaction de sa part et craignais même une mise à la porte immédiate. Pour autant, je ne m’en voulais pas d’avoir fait preuve de franchise, contrairement aux autres fois où je m’étais laissé emporter par la facilité et l’avais regretté par la suite. À mon grand étonnement, Marie-Reine fit preuve d’une réelle retenue et ne discuta pas ma décision, même si mon refus de faire l’amour avec elle avait de quoi l’interpeller. La situation était en effet troublante, mais s’expliquait pourtant simplement. Elle et moi nous étions connus sur Internet et avions décidé, après de brefs échanges écrits, de nous rencontrer. Si la découverte de son physique, par le biais de quelques photos, m’avait considérablement déçu, je n’en avais rien laissé paraître et cela constituait, sans doute, une erreur majeure. Nous avions passé l’après-midi de ce beau dimanche d’automne d’abord dans une pinède qui surplombait la ville, puis à la terrasse d’un café-restaurant sur le port où nous avions soupé. Ensuite, Marie-Reine m’avait invité chez elle pour continuer la discussion et dans l’idée, sans doute, de faire évoluer la nature de cette relation naissante afin, dans un premier temps, de combler son désir sexuel. C’est ainsi que nous nous ...
... étions retrouvés côte à côte sur son canapé et bientôt face à face pour échanger des baisers trompeurs. Mais avant qu’elle ne sorte ma queue de son logement, j’avais brutalement mis fin à nos ébats, rattrapé par l’évidence que ce corps qui allait s’offrir ne m’attirait tout simplement pas. La malheureuse se montra digne au-delà de mes espérances et parvint à minimiser son affectation jusqu’à la rendre inaudible tandis que j’essayais maladroitement de fournir des réponses aux questions qu’elle ne me posait pas. Heureusement, la sympathie que nous avions l’un pour l’autre nous permit de sortir de cette situation inconfortable et de rebondir sur un sujet récréatif que nous étions sur le point d’aborder au moment où les choses s’étaient précipitées. Nous nous déplaçâmes devant son ordinateur sur l’écran duquel défilèrent bientôt des photographies que Marie-Reine avait prises. La quadragénaire vouait une véritable passion pour cet art qui occupait une bonne partie de son temps libre. Membre d’un club local, elle faisait de fréquentes sorties dans les environs pour saisir la beauté de la Nature méditerranéenne et de ses monuments. Son talent était indéniable, et je ne manquai pas de la féliciter pour ses réalisations que je commentais positivement, ce qui lui procura une légitime satisfaction. Après une série consacrée à des petits bateaux dont les chatoyantes couleurs m’avaient émerveillé, une nouvelle – plus surprenante – me fut proposée. Elle avait pour cadre le décor d’un studio et ...