Marie-Reine
Datte: 30/10/2017,
Catégories:
ffh,
copains,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
... laquelle je reconnus le modèle entrevu sur son ordinateur qui, cette fois, exhibait généreusement ses parties intimes. Ma réaction fut immédiate et volontairement exagérée, ce qui provoqua une succession de savoureuses répliques qui s’enchaînèrent du tac-au-tac et contribuèrent à détendre définitivement l’atmosphère. Elle me confirma avoir pris beaucoup de plaisir ce jour-là, à l’image de ses consœurs amatrices, et être impatiente de voir l’opération renouvelée. Comme je m’y attendais, elle réitéra sa proposition de devenir à mon tour son modèle, ce qui ne manqua pas de m’agacer, même si je lui reconnus le courage d’exposer si franchement sa requête. Sans doute pensait-elle que l’idée ferait son chemin dans mon esprit, et que le moment venu elle récolterait les fruits de son obstination pour le moins singulière. Après avoir refermé la page de notre conversation, je fis le constat qui s’imposait. Une réelle complicité s’était progressivement installée entre nous qui ne demandait qu’à prospérer et s’enrichir. Cela m’amena à considérer douloureusement l’écueil que représentait, à mes yeux, ce physique pour lequel je n’avais aucun appétit. J’aurais aimé me convaincre qu’une évolution de notre relation était possible, qui passait par l’acceptation de ses rondeurs, mais ce louable objectif me parut inatteignable. À plusieurs reprises, j’avais tenté de m’exciter en regardant les photos de Marie-Reine ou simplement en pensant à elle, sans ne jamais y parvenir. Il ne servait donc à ...
... rien d’essayer de provoquer un déclic qui ne se produirait pas, par le simple fait que ce qui m’attirait chez cette femme n’était pas d’ordre sexuel. Je le savais depuis le commencement, même si je m’étais persuadé à croire le contraire. Je me retrouvais donc dans la situation embarrassante d’être désiré par quelqu’un pour lequel je n’avais aucun désir et de devoir composer avec cette triste réalité. Il ne me restait plus qu’à savourer les instants passés auprès d’elle et à profiter de la finesse de son intelligence qui avait su étouffer sa rancœur au lieu de l’exacerber et me réservait d’autres surprises. Nous nous retrouvâmes en ville, le samedi suivant, et improvisâmes une séance de cinéma en raison de la pluie qui s’était mise à tomber. Profitant d’un moment de répit dans la projection, Marie-Reine m’annonça dans le creux de l’oreille qu’elle attendait la visite de sa copine Samira dans la soirée, mais que cela ne remettait nullement en cause l’invitation à souper qu’elle m’avait faite la veille et que j’avais acceptée. L’idée de partager ma nouvelle amie avec l’une des siennes ne me ravit guère, mais je préférai ne rien laisser paraître de mon embêtement, par respect pour mon hôtesse. Après une heure et demie d’un agréable divertissement, nous rejoignîmes nos véhicules respectifs et prîmes la direction du domicile de Marie-Reine qui démarra la première et m’indiqua, à chaque croisement, la direction qu’il fallait prendre en actionnant son clignotant longtemps à l’avance. ...