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Marie-Reine
Datte: 30/10/2017, Catégories: ffh, copains, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral
... J’alternais les positions en suivant leurs recommandations, contractais mes muscles, changeais mes mains de place et m’efforçais de sourire lorsqu’elles me le demandaient. Après cette mise en bouche, les dames voulurent travailler le haut du corps et se rapprochèrent alternativement de moi à la distance minimale de mise au point qui leur était imposée. On me fit d’abord bomber le torse et ressortir les épaules avant de m’inciter à prendre une pose plus naturelle et à croiser les bras. Les quelques mots que délivraient ça et là les photographes montraient clairement leur satisfaction, ce qui m’encouragea à rester concentré et à donner le meilleur de moi-même. Alors que Samira s’éternisait sur ma poitrine, cette coquine de Marie-Reine s’accroupit devant elle de façon à cadrer mes parties intimes en gros plan. Comme je manifestais mon étonnement, celle-ci m’adressa un sourire et me rappela le cliché qu’elle m’avait envoyé au cours d’une de nos conversations sur lequel s’affichait le service trois-pièces de son premier modèle. Une façon aussi de me dire qu’il ne servait à rien d’objecter ses choix ni ceux de sa complice. Je les laissai donc se repaître de mes attributs virils en veillant toutefois à ne pas les regarder, car la proximité de leurs visages était suffisamment équivoque pour provoquer le durcissement intempestif de l’organe qui concentrait leur attention. D’ailleurs celui-ci s’était largement décalotté dans l’intervalle sans que cela ne freine les ardeurs des ...
... photographes qui m’obligèrent à me mettre de profil pour en faire ressortir les contours. Au lieu de prendre un peu de champ et de me laisser souffler, les abeilles déroulèrent leur plan et m’invitèrent à m’allonger par terre, d’abord sur le dos, puis sur le ventre. Dans les deux cas, elles s’accroupirent sur moi, n’hésitant pas à poser un pied entre mes cuisses pour obtenir le meilleur angle. Il me fallait sourire ou garder un air neutre suivant la directive de celle qui officiait, et surtout ne rien trouver à redire à leurs exigences. Plus le temps passait, plus elles s’enhardissaient, conscientes d’avoir pris l’ascendant sur leur modèle. Après s’être concertées, elles me firent mettre à quatre pattes et insistèrent pour que j’écarte les jambes de façon à dégager l’intérieur de mes fesses. Subjugué par leur audace, je m’exécutai et leur présentai mon fondement de la manière souhaitée, sans toutefois parvenir à les contenter puisqu’elles me firent encore cambrer le dos et plier les genoux pour que ma raie culière s’ouvre dans l’écartement le plus ample qui soit. Samira passa la première à l’action et ne prit même pas la peine de s’excuser en marchant sur mes orteils avec ses talons. Tandis qu’elle reprenait sa respiration, je sentis son souffle chaud envelopper mes couilles et glisser sur mon trou du cul avant de s’évanouir sur mon dos. Les déclenchements de la belle beurette s’accompagnaient de discrets gémissements que je percevais malgré la musique et qui m’indiquaient que la ...