Aurélie 3
Datte: 11/03/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... après. Elle se plaça face à moi et me dit :- Ouvre la bouche et suce.Sans attendre, elle m’enfonça dans la gorge son godemiché ceinture. Sans faire cas de moi, elle prit mon menton d’une main et me bourra de coups de reins. A chaque pénétration, le gland du godemiché percutait ma glotte, manquant de me faire vomir. Véronique me lima la gorge pendant un long moment puis ressortit et passa derrière moi. Je la sentis écarter les lèvres de ma chatte, coller le gland contre mon vagin et s’enfoncer d’un ample coup de rein. Elle commença à me labourer violemment le conduit. M’empoignant aux hanches, elle enfonça ses ongles dans ma chair et me pilonna brutalement. Combien de temps dura cette saillie, je n’aurais su le dire. Ce que je sus par contre, c’est que j’eus deux orgasmes que je ne pus cacher à ma maîtresse, tant ils furent violents. Lorsqu’elle cessa de me baiser, j’étais une loque, incapable de bouger. Elle sortit de moi et se plaça face à mon visage.- Nettoies tes saleté, me lança t’elle en m’enfournant le gode dans la bouche.Pendant cinq bonnes minutes, je léchai le gode, jusqu’à ce que le goût de ma mouille disparaisse tout à fait du plastique. Satisfaite, ma maîtresse repartit vers ...
... la chambre. Lorsqu’elle revint, elle ma détacha et je restai un instant étendue sur la table, cuisses écartées, anéantie.- J’espère que tu as apprécié, Cybèle.- Oui, maîtresse. Merci maîtresse d’avoir fait jouir votre salope.- Profites-en bien. Ce soir, c’est ton cul que je vais baiser. Maintenant relève-toi, je vais te remettre ton corset. Après, tu feras le ménage.- Bien maîtresse.Je me relevai difficilement. Véronique me passa mon corset et le resserra comme avant. La ceinture retrouva sa place et je fus rebouchée comme avant. Le bas du vêtement frottait contre les marques de ma punition et me faisait des élancements douloureux. Pourtant, il ne me vint pas à l’idée de me plaindre. Ma maîtresse s’en serait moquée et peut-être m’aurait-elle fouettée de nouveau. Faire le ménage dans ces conditions fut particulièrement difficile. Dans l’impossibilité de me baisser, je dus faire preuve d’ingéniosité afin de parvenir à tout faire. A chaque instant, les deux godes emplissant mes orifices se rappelaient à moi. Chaque mouvement les faisait bouger et m’excitait. Jamais encore je n’avais trouvé le ménage aussi agréable. D’ailleurs, je n’avais jamais fait de ménage. Consuelo se chargeait de tout.