Aurélie 3
Datte: 11/03/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... trente. Je me levai précautionneusement, sentant en moi les deux godes et me dirigeai vers les toilettes. Il me fut bien difficile d’uriner, malgré l’envie. Ensuite, je me passai de l’eau sur le visage, me fit un léger maquillage, m’habillai et partis faire les courses. En revenant, je me déshabillai, préparai le petit déjeuner de ma maîtresse et attendit son appel.Vers neuf heures, j’entendis la clochette retentir. Aussitôt, je m’emparai du plateau que j’avais préparé et me rendis à la chambre de ma maîtresse.- Bonjour maîtresse, dis-je en entrant, avez-vous bien dormi ?- Bonjour Cybèle, très bien, merci. Ouvre les volets et mets-toi en position.- Bien maîtresse.Je déposai le plateau sur le lit et ouvris les volets. Puis, je vins m’agenouiller auprès du lit de Véronique. Elle déjeuna lentement, puis me rendant le plateau, sortit du lit.- Vas déposer le plateau dans la cuisine et viens me rejoindre dans le salon.Je fis ce qu’elle m’avait demandé et je vins vers elle. Elle me retira le corset et les deux godemichés, puis elle me regarda et me dit :- Vas vers la table. Colle tes pieds contre les pieds de la table. Pose ton buste sur le plateau et écarte les bras vers les coins. Voilà, parfait ! Reste comme cela.Et elle sortit. Ça y était ? J’allais recevoir ma première fouettée. J’appréhendais et je l’attendais enmême temps, témoin, mon sexe qui commençait à s’humidifier. Elle revint quelques instants plus tard, posa la cravache sur la table et disposa une chaînette à chaque ...
... pied de table. Puis, elle fixa une des extrémités de la première chaînette au mousqueton de mon poignet gauche, fit trois tour autour du pied de la table et rattacha l’autre extrémité au mousqueton. Elle fit pareil aux quatre pieds et je fus bientôt immobilisée sur la table.Elle s’empara ensuite de la cravache et se plaça derrière moi. Je ne la voyais pas, mais je savais qu’elle était là. Elle fit vibrer la cravache dans l’air à plusieurs reprises et, à chaque fois, je crispai les fesses. Lorsque le premier coup s’abattit sur mon cul, je hurlai, autant de douleur que de surprise. Elle n’y allait pas de main morte. Un deuxième coup suivit, toujours aussi fort. Je criai à nouveau. Puis ce fut une grêle qui s’abattit sur mes fesses. Je n’aurais pas pu compter les coups, même si je l’avais dû. Je sentis mon cul me brûler et la douleur devenir insupportable. Pourtant, tout au fond de moi, une vague commençait à monter. Ma chatte me brûlait et coulait comme jamais. Je sentais ma mouille couler le long de mes cuisses.Véronique s’arrêta avant que je ne puisse jouir. Elle passa un doigt sur les marques de cravache, me faisant frissonner autant de plaisir que de douleur. Un autre doigt inquisiteur me pénétra avec d’autant plus de facilité que j’étais trempée. Ma maîtresse fit quelques va et viens à l’intérieur de mon vagin, puis retirant son index, quitta la pièce. J’étais toujours nue, écartelée par les pieds de la table, immobilisée par les liens. Je l’entendis revenir peu de temps ...