Mets de l'huile !
Datte: 11/03/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
grossexe,
groscul,
volupté,
revede,
Oral
préservati,
fdanus,
fsodo,
aliments,
Mireille est ma voisine depuis six mois. C’est une étudiante très sympathique, pleine d’humour et… surtout pas libre puisque son mec vit à Aix-en-Provence, sa ville d’origine. Pour la décrire… Une grande brune italienne (par sa mère), avec deux seins en forme d’obus qui jouent sous les pulls et les tee-shirts, surtout en été, quand elle ne met pas de soutien-gorge. Mireille est callipyge. Mot compliqué pour dire qu’elle a un cul de statue romaine, ferme et soutenu par les deux colonnes parfaites de ses cuisses. Monter un escalier derrière elle est une expérience mystique ! Depuis que les beaux jours sont arrivés, je squatte dans la cour intérieure de notre immeuble, en faisant semblant de bricoler ma bicyclette, pour le plaisir de la voir sortir en début d’après-midi, avec sa robe à fleurs qui dévoile ses épaules bronzées. Ce samedi après-midi, je suis monté chez elle avec une bouteille d’huile d’olive. — Mais pourquoi faire ? demande-t-elle avec un sourire amusé, le sourcil arqué.— Ben… c’est à dire que… comme tu es méridionale, je me suis dit que tu préfèrerais l’huile d’olive pour lubrifier.— Lubrifier quoi ?— Ben, c’est-à-dire que …(je prends mon courage à deux mains) … j’ai très envie de te sodomiser ! Un long silence. Je serre les dents dans l’attente de la mandale qui va me décrocher la mâchoire. — Ah bon ? On ne me l’a jamais faite, celle-là ! Pourquoi tu as mis tout ce temps à te décider ? Depuis le temps que tu me tournes autour ! Figure-toi que j’adore me faire ...
... enculer ! Elle éclate de rire en se penchant vers moi et je sursaute en sentant sur ma braguette sa main qui caresse mon sexe bandé à travers la toile de mon bermuda. Elle m’embrasse au coin des lèvres et rentre dans son appartement. Je la suis et je la prends par la taille, en posant un baiser au creux de son cou, pour goûter sa peau gorgée de soleil. Mes mains remontent de son ventre plat et musclé jusqu’à ses seins, libres sous le tissu de sa robe. Ils sont doux et lourds, ronds comme les fruits de l’été. Elle se libère de mon étreinte et s’agenouille sur le canapé, me tournant le dos. — Là, ça ira ? Collé derrière elle, je frotte la bosse de ma bite contre son cul, mes mains crispées sur ses hanches. Juste à la bonne hauteur pour un pilonnage en règle. — Déboutonne-moi, il faut trop chaud. Une fois débarrassée de sa robe, en un tour de main elle enlève sa culotte et enfouit son visage dans un coussin. Accroupi, je hume la raie de son cul, une crevasse brûlante entre ses deux fesses rondes et fermes. Le sang me bat aux tempes, mon audace m’étonne et j’avance la langue jusqu’à sa rosette brune et fripée, salée et musquée. — Petit cochon ! Mireille pousse un grognement de satisfaction. Ma langue monte et descend dans sa raie. En bas, c’est le début de sa colonne vertébrale qui remonte en ondulant jusqu’à ses épaules, ses omoplates saillantes. Plus bas, parmi les poils, le goût change, plus iodé, plus salé, c’est le début de sa chatte, où j’enfonce mon majeur après l’avoir sucé ...