1. Mets de l'huile !


    Datte: 11/03/2021, Catégories: fh, jeunes, grossexe, groscul, volupté, revede, Oral préservati, fdanus, fsodo, aliments,

    ... ! Tu vas me déchirer, mon salaud ! Doucement, je pose mes mains sur ses hanches et j’avance doucement les pieds. Je respire doucement pour qu’un orgasme prématuré ne gâche pas un tel moment. Je regarde ma bite fichée entre ses deux globes de chair bronzée. La vie est belle… Le visage dans son coussin, Mireille étouffe des gémissement, des hoquets de plaisir, de petits cris. Elle ondule doucement, s’empalant sur ma bite, étranglant ma bite de son anus brûlant. Au dedans, mon gland est flatté par ses muqueuses, gonflé à bloc et hyper sensible. Chaque fois que je recule, elle me serre avec l’énergie du désespoir, son gémissement passant à l’aigu. Chaque fois que je replonge dans ses entrailles bouleversées, le gémissement s’élargit en un cri. Les gouttes de sueur scintillent sur son dos magnifique et je les cueille de la langue, jusqu’à son oreille en dessous de laquelle je pose un baiser d’amour. Mes mains sur ses épaules, je bourre son cul à coups de piston. Elle se relève à genoux, les mains contre le mur pour contenir mon assaut, et je chope ses seins au creux de mes mains, torturant ses tétons. Ma main glisse sur son ventre pour trouver, entre les poils, la petite barre du clitoris que j’agace frénétiquement. Mireille se cabre comme une pouliche farouche, ...
    ... ses cheveux fous balaient mon visage et elle part dans son orgasme, effondrée sur le canapé. Les mains sur ses hanches, je savoure jusqu’à l’overdose chaque va-et-vient dans son cul crispé sur mon chibre et je lâche une salve de plaisir en criant, le plaisir est tellement aigu que c’est presque de la douleur. Les jambes en coton, je décule doucement et je m’effondre par terre. J’ai l’impression de prendre feu. … Mireille se penche vers moi et ses boucles brunes me caressent le visage. — Ça va ?— Euh, oui… Je suis allongé sur le béton de la cour intérieure, en plein soleil, à côté de ma bicyclette que je n’ai pas fini de réparer. J’ai sans doute frôlé le coup de soleil. Elle esquisse un sourire coquin. — Tu faisais quoi, comme rêve ? Je suis son regard jusqu’à la bosse que forme ma bite en érection dans mon bermuda. Une énorme, horrible tache mouillée au centre de laquelle se reconnaît très bien un liquide opalescent et odorant, orne le sommet de la tente que fait mon sexe encore bandé. — Ben… Je rêvais de toi !— Oh putaing ! C’était un joli rêve, alors ! Faudra que tu me le racontes ! Je lui vole un baiser sur ses lèvres humides. Elle ne semble pas s’en offusquer. — Sinon… tu as de l’huile d’olive chez toi ?— Euh, oui ! Tu en as besoin ?— Rapport à mon rêve… 
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