Premiers orgasmes
Datte: 11/03/2021,
Catégories:
Première fois
... cousine de ma mère, son antithèse, toujours joyeuse, ouverte, à l'écoute. Une fois enfin le divorce prononcé , à la maison tout était devenu terne, fade, chez Glawdys je faisais le plein de vitamine du coeur , promenades dans la nature propices aux discussions, ses amis , si joyeux , les veillées tardives à chanter autour de la cheminée, la musique salvatrice de bien des maux, les longues parties de c****ttes nocturnes, les balades à cheval dans la campagne ou dans les bois. C'est à elle que je pus confier mes premiers saignements et elle su trouver les mots pommades qui rassurent. Treize ans et tellement à l'étroit dans mon corps. Un weekend de printemps, j'étais partie chez Glawdys justement, il faisait doux et elle m'avait proposé de l'accompagner pour une sortie équestre avec un couple d'amis à elle. Cela aurait pu se passer comme toujours, après un grand bol d'air un autre rempli de chocolat chaud pris sur la terrasse au retour .Sauf que ce jour là rien ne se passa comme prévu, il flottait une atmosphère étrange sans que je puisse la définir. La veille au soir entre ma mère larmoyante qui ne parvenait pas à redresser la tête et moi la dispute avait été violente, j'avais claqué la porte de ma chambre et téléphoné en pleurs à Glawdys, ma fée clochette. Le lendemain au matin elle avait fait les cent kilomètres qui nous séparaient pour venir m'enlever et soulager ma mère.Ses amis nous attendaient et rapidement je posais mon sac pour aller au haras voisin.Je suis montée sur ...
... Yippy avec qui j'avais mes habitude et sur le dos duquel je me sentais rassurée et me suis mise en tête du cortège comme j'en avais l'habitude. Nous primes le chemin que nous prenions toujours, un peu de sous bois puis au galop dans un vaste chemin et retour au bercail une heure après. Ce jour là, rien ne fût comme avant, j'étais partie en tête comme j'en avais l'habitude, j'aimais chevaucher, c'était un sentiment de liberté les grands espaces. Nous allions au pas et j'écoutais Glawdys converser avec ses amis, un couple professeurs des écoles. Je préférais écouter, peu envie de parler , plutôt faire le vide. Je ressentis une étrange irritation entre les cuisses et une chaleur sur les fesses. Au fur et à mesure que nous avancions la sensation devenait plus vive encore et je tentais de me ressaisir en cherchant une position différente mais peine perdue, mon corps semblait ne plus répondre à mes injonctions. Lorsque nous sommes arrivés à l'orée de la grande allée boisée le galop précipita les fourmillements qui s'intensifièrent car je serrais les flancs de Yippy avec plus de vigueur. Chaque fois que se soulevaient mes fesses et qu'elles retombaient sur la selle , le fourmillement devenait.... délicieux, de plus en plus délicieux , comme si l'on m'avait frotté l'entrecuisse avec de l'alcool, une chaleur irradiait le bas de mon ventre comme jamais je n'aurais imaginé. Lorsque nous sommes arrivés vers la clairière, je baissais les yeux et m'arrangeais pour ne pas montrer mon visage ...