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L'amour toujours...
Datte: 11/03/2021, Catégories: fh, vacances, voiture, volupté, Oral pénétratio,
Suite à cet épisode qui nous avait révélé l’un à l’autre je ne pensais plus qu’à elle… Je ne voyais plus qu’elle et je délaissais un peu beaucoup les potes. Je la désirais follement mais ça allait bien au-delà de la pulsion sexuelle. Tout simple !!! Je l’avais dans la peau!!!J’étais raide amoureux et quelque part ça me stressait terriblement. Après ce que nous avions vécu il m’était insupportable d’imaginer un seul instant qu’elle puisse se donner à un autre. J’étais devenu possessif, jaloux, je me méfiais de tout le monde et j’attendais le moment divin où nous pourrions de nouveau être seuls ensemble. Mon fantasme du moment était on ne peut plus soft : j’avais envie d’enfouir mon visage dans ses longs cheveux soyeux, de baiser tendrement sa nuque et de la sentir frissonner. J’avais envie de me dépasser pour elle et de lui donner le meilleur de moi-même L’amour transcende et c’est un formidable aiguillon qui ouvre notre conscience et nous procure de divines émotions. Oh oui ma Sylvianne ! Comme j’ai pu t’aimer à ce moment! Je te cherchais à chaque moment et quand enfin je t’apercevais ou que tu me regardais, mon cœur s’emballait et je me noyais dans l’émeraude de tes yeux. En fait j’étais barré dans un délire mystique où je ne me reconnaissais plus. Je lui fixai rencard le soir-même dans le camion et elle me jeta un regard entendu plein de promesses. Les quelques heures séparant notre rencontre me parurent des siècles. Trois coups frappés légèrement à la porte et enfin elle ...
... était là, plus féminine que jamais, m’enveloppant des doux effluves de ce parfum qui lui allait si bien… Pour la circonstance, elle s’était vêtue d’un caraco blanc, d’une jupe noire très serrée et, ma foi plutôt courte, ce qui la rendait encore plus désirable. Nous savions pourquoi nous étions là et pourtant c’était comme si le temps s’était arrêté. Je fis un pas vers elle et la pris doucement dans mes bras. Son corps était chaud et je le sentais vibrer contre moi. C’était d’une tendresse infinie et elle posa sa tête sur mon épaule. Je la sentis alors complètement abandonnée. Loin de la passion de notre première étreinte, le sentiment amoureux que nous ressentions avait pris une dimension quasi-mystique. Nous prenions notre temps en laissant infuser le désir de la fusion ; instant magique où nous sommes là où nous devons être ; ici et maintenant. Je me souviens d’avoir caressé son visage de mes lèvres en en explorant toutes les facettes et lorsque nos bouches se sont enfin trouvées, il y a eu ce long et doux moment de baisers plus ou moins appuyés, cet échange de nos souffles, cette intimité profonde, cette sensualité délicieuse de deux cœurs qui battent à l’unisson. Je l’ai allongée sur le lit sans qu’à aucun moment nos corps ne se séparent et lorsque nos yeux se sont croisés il n’y avait plus de frontières. Nous rien que nous. Dans un souffle où tout paraissait suspendu à un fil où le temps lui-même était palpable, je l’entendis d’une voix de petite fille me demander : — ...