1. L'amour toujours...


    Datte: 11/03/2021, Catégories: fh, vacances, voiture, volupté, Oral pénétratio,

    ... Ooohhh fais-moi l’amour !!! Je te veux en moi… Viens ! Alors je l’ai dévêtue doucement religieusement, en embrassant chaque parcelle de ce corps que je découvrais, en respirant sa peau douce et sucrée comme une friandise. Je m’attardai sur ses seins petits mais fiers et sensibles, faisant jouer ma langue sur ses tétons dressés, enfouissant mon visage entre eux pour m’enivrer de leur douce chaleur. Sylvianne me caressait les cheveux tendrement, me pressant contre sa poitrine et je ressentais l’émotion maternelle. C’était du pur bonheur et je n’ai jamais oublié cet instant d’une félicité parfaite. C’est elle qui m’a guidé vers son centre mais j’ai pris mon temps pour approcher mes lèvres de son puits d’amour et lorsque j’ai atteint sa toison d’or, ses lèvres intimes ouvertes gorgées de miel, comme un calice, attendaient mon offrande. J’ai tout de suite aimé ses effluves et je l’ai goûtée, explorant de ma langue chaque recoin chaque parcelle de cette fleur éclose. Sylvianne gémissait de bonheur et c’était comme un chant d’allégresse pour nous deux. Elle m’avait ouvert ses cuisses et son plaisir était tel qu’elle montait et descendait son bassin se frottant la chatte sur tout mon visage. J’étais trempé de ses secrétions mais j’en redemandais. A un moment son mouvement devint comme une danse et dans un cri elle se mit à jouir, enfonçant ses ongles dans mes cheveux. Je ...
    ... sentis nettement les contractions et l’afflux d’humidité animant son buisson ardent. J’étais ému et j’ai continué encore et encore à la lécher comme si ma vie en dépendait… J’étais dans un état second, concentré sur l’origine du monde (tout du moins c’était mon impression à cet instant précis), mais mon envie de la pénétrer devint impérieux. La posséder pour la faire mienne… Je me débarrassai de mes vêtements et, nu, le sexe dressé, conquérant, je me positionnai entre ses cuisses. Elle m’accueillit en se tendant vers moi et je la pénétrai très lentement ; à ce moment je n’étais plus qu’un sexe prisonnier d’un fourreau chaud humide et délicieusement suave. Je faisais durer ce plaisir unique de la conquête et de la possession ; quand je fus totalement enfoncé dans son ventre, mes yeux chavirants dans les siens, je me retirai et replongeai aussitôt ; c’était fort et puissant et je ressentis cette sensation merveilleuse de l’union totale. Je lui ai fait l’amour longtemps, passionnément, en me fondant en elle jusqu’à la vague, qui nous a entraînés inexorablement vers un orgasme dévastateur. Nous avons passé le reste de la nuit ensemble. Le camion était devenu un radeau et nous étions collé l’un à l’autre comme si déjà nous avions peur de nous perdre ou nous éveiller de ce qui n’avait été qu’un rêve. Moment unique et précieux que l’on garde dans sa mémoire comme une prière… 
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