1. Dentelles et Troubadours


    Datte: 12/03/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, BDSM / Fétichisme entreseins, Oral pénétratio, humour, policier,

    ... vous croyez ?— C’est une idée à la con, mais il me faudra l’accord du patron, du préfet, et sûrement celui du ministre.— Ça en fait des accords, intervint Ludovic, c’est plus une enquête, mais un concerto.— Nous pourrions trouver dans nos services des jeunes femmes susceptibles de faire mannequins.— Je vois, tu rameutes toutes les meu… jeunes collègues bien foutues…— Elles défilent et, en même temps, nous aident à mener notre enquête et à vous protéger.— Voilà une affaire qui me botte ! Tu as raison sur un point, ça relève du ministère ce genre d’opération.— J’en m’en occupe, affirma Héloïse, la ministre est une cliente et amie. La ministre appela de suite le préfet, qui alerta le directeur de la PJ, lequel ordonna à ses services de lancer le recrutement de suite. Dans la demi-heure qui suivit les deux flics reçurent plusieurs coups de fil de confirmation. L’opération Dentelles pouvait commencer. Héloïse Delatour, folle de joie, plaqua un énorme baiser sur la bouche de Valentin. Qui tomba raide dans les pommes. ~o~~o~~o~~o~ Lorsqu’il reprit ses esprits, il se crut au paradis. Il avait la tête posée sur les cuisses d’Héloïse qui lui passait un linge humide sur le visage. La chienne lui léchait la main droite et Coralie lui tapotait la gauche. — Je vais vous laisser, annonça la secrétaire, je vais aller aider votre collègue qui s’occupe de coordonner le recrutement de nos futurs mannequins.— Restez allongé encore un peu, ne vous levez pas trop vite, lui intima Héloïse ...
    ... Delatour alors qu’il faisait mine de se mettre debout. Maintenant, elle caressait les cheveux et les joues du beau flic. — Monsieur Ludovic m’a expliqué vos soucis avec les femmes, je suis désolée pour vous. Amoureux d’une ex-tueuse à gages entrée dans les ordres, c’est pas banal. Un de ces quatre, il allait en arriver aux mains avec son adjoint. Sa vue lui jouait-elle des tours ou elle se penchait vraiment sur lui ? Quand la jeune femme l’embrassa, il n’eut plus aucun doute. D’abord un baiser léger sur le front, puis un autre plus appuyé sur les lèvres. Elle l’embrassa, il s’embrasa. — Je veux t’aider à résoudre tes problèmes, ajouta-t-elle en se jetant sur lui. Une langue investit sa bouche. Elle glissait ses mains sous la chemise, lui griffant la peau. Il resta tétanisé selon lui une éternité, il se libéra de quinze années de terreur comme l’on quitte une camisole. Il embrassa, caressa, mordilla tout en grondant de joie. — J’ai envie, tout de suite, là, maintenant ! rugit la belle Héloïse en s’attaquant aux vêtements du flic. Une fois le policier nu, elle se déshabilla frénétiquement, poussant de petits gémissements de détresse, car ça n’allait pas assez vite. Valentin découvrait de très près « Sylphe Blanche », qui alla rejoindre sur le sol les autres vêtements. Les seins ne tenaient pas dans ses mains pourtant grandes, blancs tels une neige immaculée, aux larges aréoles et gros tétons clairs, tendus, des seins fermes et doux sous les doigts, un régal. Selon lui, ils n’avaient ...
«12...101112...23»