1. Dentelles et Troubadours


    Datte: 12/03/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, BDSM / Fétichisme entreseins, Oral pénétratio, humour, policier,

    ... guère besoin de soutien-gorge. Il les tâtait et se tâtait, n’ayant aucune connaissance des mesures de ces savoureux appendices, il hésitait entre moyens et gros. — Viens, vite, je n’y tiens plus. Elle balaya d’un revers de bras tout ce qu’il y avait sur le bureau et y allongea son flic, sexe au garde-à-vous, il ne se fit pas prier. Elle grimpa sur le bureau, enjamba V-d-V qui eut une vue imprenable sur ses fourches caudines. Des jolies lèvres gonflées et humides lui souriaient, une étroite toison bouclée lui rappela les moustaches du Major Thompson. Héloïse s’accroupit sur le bas-ventre de Valentin, elle fit glisser la tête du nœud sur toute la longueur de sa minette, insistant sur son bourgeon, puis n’y tenant plus elle s’impala** sur le beau membre. — Ah oui, merci, Valentin ! Comme un coureur du Tour de France dans une étape de col, elle tenait un rythme régulier, elle montait et descendait le long du pivot. Des clapotis suggestifs retentissaient dans le bureau. Devant les yeux émerveillés du policier s’agitaient les deux belles rotondités. — Vas-y, vas-y, encore. Que c’est bon. Vaaalleenntiiin ! Valentin la tenait aux hanches, elle assurait son équilibre en lui serrant les poignets. Il regardait sa queue entrer et sortir de plus en plus vite du fourreau de chair. Il aurait aimé caresser à loisir ce qui lui était offert, mais n’osait rompre le charme. Fatiguée d’être accroupie, elle s’agenouilla, tout en continuant ses activités. — Ahh, Ohh. Ouh ! Héloïse était une ...
    ... démonstrative en onomatopées. Il se retenait, voulait faire durer le plaisir le plus longtemps possible, il se disait qu’un tel cas de figure ne se renouvellerait pas de sitôt, il éprouvait cependant de plus en plus de difficultés à se contenir. Elle rythmait les mouvements sur son mâle par des cris scandés en rythme, tel un barreur d’aviron. — Vaaleentin, oui, Vaaleentin, oui ! Dans la pièce voisine, deux clients japonais attendaient. L’impassibilité asiatique en prenait un coup. Ils échangeaient des regards interrogatifs. Le plus jeune semblait à l’étroit dans son pantalon. Ludovic revenait avertir la secrétaire et son chef de l’arrivée des premières policières dans le courant de la journée, mais il s’arrêta net en entendant les cris dans le bureau voisin. — Tiens bon, oui, tiens bon, encore, encore, plus vite… Valentin ! Ooooouuuuiiii. Donnadieu regarda la secrétaire, un sourcil levé et affublé d’un sourire idiot. — Ça fait un quart d’heure que mademoiselle et le capitaine sont en réunion, lui répondit-elle, impavide.— Rrraaah, lança V-d-V, en réponse au « Oooouuuuiiiii » de sa comparse. Il la serrait tout contre lui, peut-être un peu fort. Écroulée sur le corps de son amant, toujours plantée sur lui, elle l’embrassa et lui mordit la lèvre. Ils se tenaient, enlacés, reprenant leur souffle. Il léchait la transpiration sur les joues d’Héloïse. — Attends un peu, tu vas me redonner envie. Je sais, tu vas me trouver folle, mais comprends-moi, toutes ces émotions, les agressions, et ...
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