Dentelles et Troubadours
Datte: 12/03/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
BDSM / Fétichisme
entreseins,
Oral
pénétratio,
humour,
policier,
... embauches, ce qui est rare à cette époque, des comptes positifs. Si tu as des ennemis, ils ne viennent pas de l’intérieur. Il ponctuait ses mots de baisers sur les joues, les lèvres, les seins. — Ah, tu croyais que mon tourmenteur venait d’ici ?— Un bon flic se doit d’étudier toutes les pistes.— Tu étudies quoi, en ce moment ? Il étalait consciencieusement son sperme sur les seins d’Héloïse. — Je te fais un soin de beauté. Allongée sur la commode, les fesses au bord du meuble, elle regardait son homme la préparer. Il lui avait essuyé la poitrine avec une serviette, il s’agenouilla dans la fourche de ses cuisses, vint embrasser des lèvres intimes, y glisser la langue, vint chercher son diamant et le fit frétiller par d’habiles jeux de bouche, il dégusta son abricot juteux jusqu’à la faire hurler de plaisir. Il se releva lentement, embrassant de-ci, de-là, un nombril, un sein, la framboise d’un téton, un bras, une bouche, et lorsque sa flamberge fut à hauteur de la grotte, elle se sentit pénétrée en douceur. Il la serrait contre lui, mordillait les oreilles, lui embrassait les épaules, la nuque, elle se laissait aller, le visage niché dans le cou de son amant, les jambes nouées autour de sa taille. Valentin envahit tendrement la jeune femme qui projeta son ventre à sa rencontre. Ils ne faisaient pas l’amour, ils étaient l’amour. De garde du corps, le policier devenait son garde du cœur. Ils atteignirent ensemble le paradis, seul un souffle un peu plus fort en marqua ...
... l’acmé. Longtemps après, toujours enlacés ils s’embrassaient. — Où as-tu appris à faire ça ? À l’école de police ?— Je ne sais pas, j’invente, tu es ma muse. Ils s’endormirent sur le lit. Elle se serra contre lui, il sourit dans son sommeil. Sans ouvrir les yeux, Lola bougea une oreille et se rendormit en soupirant. ~o~~o~~o~~o~ À quelques kilomètres de là. — Merci de m’avoir raccompagnée, lieutenant.— C’est tout à fait normal. Vous pourriez être en danger, vous aussi.— Voudriez-vous inspecter mon appartement ?— J’allais vous le proposer. Quelques minutes plus tard : — Je crois avoir fait le tour. Il hésitait quant à la conduite à tenir, Coralie ne lui lassa pas le temps de réfléchir plus longuement. Elle se jeta dans ses bras et colla ses lèvres à celle du flic mignon. — Il n’y a pas de raison, nos patrons s’envoient en l’air, pourquoi pas nous. Quelques minutes plus tard, Ludovic effectuait une fouille au corps. — Je vérifie s’il n’y a pas de micro ou de traceurs.— À cet endroit, ça m’étonnerait, mais on n’est jamais trop prudent. Vérifie encore. La voix de la jeune femme s’éraillait alors que son flic massait tout en douceur les lèvres qui s’entrouvraient. — Plutôt deux fois qu’une. Accoudée à la commode, la croupe bien cambrée, Coralie recevait les hommages du policier. Il se disait qu’il n’avait plus besoin de ses beautés sur papier glacé. Quelle enquête de ouf ! ~o~~o~~o~~o~ Le lendemain matin, Héloïse et V-d-V furent réveillés par des coups violents frappés à la porte. — ...