Dentelles et Troubadours
Datte: 12/03/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
BDSM / Fétichisme
entreseins,
Oral
pénétratio,
humour,
policier,
... par de petits baisers, il dégustait ses lèvres au goût de framboise. De nouveau, elle prit l’initiative de le dévêtir. Elle retirait chaque vêtement lentement, avec délectation. Il se laissait faire, tout ému et heureux. Elle caressa le torse de Valentin, dessinant des doigts les contours des muscles, des tétons, du nombril. Elle se réjouit de le voir frémir sous chaque attouchement. Elle lui enleva les chaussettes avant de s’attaquer au pantalon et au boxer, car un homme à poil en chaussettes, ça ne se fait pas ! Une fois nu, elle l’entraîna vers un gros fauteuil en cuir, en le tenant par la queue.Appendice déjà en pleine forme, se réjouit-elle. Agenouillée entre les jambes du beau mâle, elle détailla l’objet en question. Belle bête trapue, une petite goutte perlait sur le sommet, une veine palpitait sur le côté. Ce matin, toute à sa frénésie, elle ne l’avait pas examinée, ce soir elle rattrapait le temps perdu. D’une langue délicate, elle fit le tour du gland, et tandis qu’elle caressait les testicules, elle emboucha l’instrument. Elle le fit coulisser entre ses lèvres, le tout accompagné de grands slurp’s. Elle essaya même de l’engloutir en totalité sans les mains, car jeux de mains, jeux de coquins. Elle ôta son chemisier tout en le pompant. Elle lui fit un grand sourire, glissa le pénis de Valentin entre ses seins. La barre coulissa à merveille entre ces adorables rondeurs, transpiration et salive lubrifiant la peau. Elle pressa sa poitrine autour du sexe de son ...
... amant, comprima la belle tige. Elle regardait la lente montée du plaisir sur le visage de son homme. Valentin ne pouvait résister plus longtemps. Le mâle heureux se lâcha dans le giron de la belle en poussant un gémissement de chaton. Elle se releva, ôta son dernier vêtement et vint se lover sur les genoux de son policier personnel qui la prit dans ses bras et lui suça délicatement le lobe de l’oreille. Elle aimait cette tendresse après une étreinte. Ils ne se parlaient pas, se contentant de se caresser et de s’embrasser. ~o~~o~~o~~o~ — Pourquoi me fais-tu tout ça ? demanda-t-il soudain.— Parce que tu es un vrai gentil, tu m’as aidée quand tout le monde m’enfonçait, quand il me fallait du réconfort.— Des gens t’enfonçaient ?— Sitôt que tu te retrouves dans la merde, c’est la curée, pourquoi cette question ?— Déformation professionnelle, une nouvelle option pour mon enquête.— Je ne voudrais pas que tu croies que je me jette à la tête du premier venu.— Je le sais… je me suis renseigné après ton « agression » de ce matin.— Tu as enquêté sur moi, quel culot !— Enquête très succincte. Trente ans, pas de compagnon depuis presque deux ans, c’est lui qui est parti – le con –, une entreprise qui te prend presque tout ton temps, bonne réputation, pas de casier, tes impôts payés rubis sur l’ongle.— Tu es romantique quand tu t’y mets. Elle se débattit et voulut se lever. Il la tint serrée contre lui et continua son discours. — Patronne aimée de ses employées, pas de licenciements, même des ...