1. Dentelles et Troubadours


    Datte: 12/03/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, BDSM / Fétichisme entreseins, Oral pénétratio, humour, policier,

    ... semaine, il appréciait tout de même la situation, se renseignant sur les noms des vêtements portés. Il goûtait les différences entre un slip brésilien, un shorty, une culotte classique, dissertait de la texture d’une guêpière, d’un body, ou des différents types de soutiens-gorges. Les policières lui demandaient même son avis, il était passé maître en accord de couleur de sous-vêtements et carnation. Même une paire de fesses joliment séparées par une ficelle de string ne le perturbait plus. Les tissus n’avaient plus de secrets pour lui, tulle, crêpe, coton, satin. Nombre d’entre elles expliquèrent détester les bas autofixants qui laissaient de disgracieuses marques sur le haut des cuisses. ~o~~o~~o~~o~ — Refais-le encore une fois. Valentin, allongé sur le dos recevait les caresses d’Héloïse. Celle-ci passait son doigt sur le corps de son amant, en partant du front jusqu’aux burettes, puis revenait par le même chemin. Évidemment, le mandrin du mâle se dressait tel l’obélisque de Louksor. — Je n’en reviens pas qu’une femme puisse me faire ça sans que je tourne de l’œil.— Tu es presque guéri. Montre-moi si tu sais faire la même chose à une femme. Sans se faire prier, il caressa le nez, les lèvres, la poitrine, s’arrêtant sur chaque téton, puis vint enfouir ses doigts dans la douce toison, frôler les lèvres gorgées de rosée. — Maintenant, il faut continuer ton traitement. Il se glissa sur sa compagne, et dans le même mouvement la pénétra. Elle lui facilita la tâche en ouvrant ...
    ... bien les jambes et guidant d’une main habile le grand mât. Enfoncé jusque la garde dans le ventre accueillant, V-d-V regardait sa douce qui venait de nouer les jambes autour de sa taille. — Si un jour on m’avait dit que je deviendrais psychothérapeute.— Si un jour on m’avait dit que j’aurais une si jolie médecin.— Tais-toi idiot, bouge et embrasse-moi. Il ne se fit pas prier une seconde fois. ~o~~o~~o~~o~ Dans une chambre d’un célèbre hôpital parisien, Sonja Eckmüll recevait toujours des soins dus à ses blessures. Elle éprouvait de la peine à se mouvoir, la plaie à la poitrine la faisait souffrir. Les chirurgiens lui expliquèrent que la lame avait failli toucher le cœur. Quelques millimètres de plus et elle y passait. Elle se désespérait, personne de son entourage n’était venu lui tenir compagnie, quand on frappa à sa porte. — Entrez.— Je ne vous dérange pas, j’espère, demanda Aldebert Montjoie tout intimidé.— Non, au contraire, je voulais vous contacter pour vous remercier, vous m’avez sauvé la vie.— Je n’ai fait que peu de choses, dit-il gêné, tenez, je vous ai apporté des chocolats, les fleurs sont, paraît-il, interdites.— Du chocolat ? Vous aimez le chocolat Aldebert ?— Énormément.— Ne le répétez pas, j’évite d’en prendre à cause de mon boulot, mais c’est mon péché mignon, je crois que nous allons bien nous entendre.— J’en suis heureux. Après un temps de silence, Sonja reprit. — Aldebert… je m’ennuie, seule ici, vous pourriez me tenir compagnie les autres jours ? Aldebert en ...
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