Dentelles et Troubadours
Datte: 12/03/2021,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
BDSM / Fétichisme
entreseins,
Oral
pénétratio,
humour,
policier,
... avala deux chocolats d’un coup. ~o~~o~~o~~o~ — Valentin, nous avons du nouveau, les résultats de l’analyse ADN viennent d’arriver, tu vas tomber sur le cul, l’agresseur est une femme ! Inconnue dans notre fichier.— Une femme ! Merde, trouver une femme dans cette boîte, ça va pas être de la tarte. Le défilé est pour demain.— Ça va pas nous faciliter le boulot en effet, un homme dans un endroit pareil, ça se repère, tandis qu’une gonzesse…— Je me suis dit un truc, elle semble aussi bien connaître cette boîte que nos procédures, genre il fallait savoir que tu allais faire de la protection rapprochée…— Oui, accouche.— Elle est peut-être de la maison. Flic ou du moins, du sérail.— Si c’est ça, on n’est pas dans la merde.— Quoique…— Oui ?— On a peut-être un moyen, elle a des traces de griffes. Valentin passa une autre nuit en tant que garde du corps, la dernière nuit avant le défilé. Après une partie de jambes en l’air, tendre, mais mouvementée, ils reprirent leur souffle, allongés côte à côte. — Tu ne m’as toujours pas dit pourquoi tu craignais les femmes.— Tu ferais un bon policier, têtue et tenace. À cause d’une amie de ma mère.— Je n’ose comprendre.— Ma mère nous a trouvés au lit, en train de bien faire. Depuis je suis… j’étais terrorisé.— Mon petit poulet. Tu avais quel âge ?— Même pas majeur ! Je viens de passer les pires années de ma vie.— Tu veux dire que depuis ce jour-là tu n’as jamais plus…— Jamais !— Mon pauvre chéri.— Chéri ? Je ne croyais jamais devenir le chéri de ...
... quelqu’un. ~o~~o~~o~~o~ Dans une chambre d’hôpital, un gros bouquet de roses en soie trônait sur la table de nuit. Sonja faisait part de ses inquiétudes à un Aldebert apoplectique. — Aldy, je ne sais pas s’il sera comme avant. Je m’inquiète.— Il est très beau, ne te fais pas de souci, répondit Aldebert d’une faible voix.— Tu es gentil, la cicatrice ne se voit pas trop ? Je sens comme un bourrelet, là ! Touche, donne-moi ton avis, compare avec l’autre. Elle tendit ses seins dénudés vers Aldy qui caressa les globes aussi délicatement que s’il l’eût fait avec une bulle de savon. — Je ne sens aucune différence, murmura-t-il, ils sont aussi beaux et doux l’un que l’autre.— Tu es adorable, répondit Sonja en déposant un léger baiser sur les lèvres de son vis-à-vis. Aldebert venait d’entrer dans la quatrième dimension. ~o~~o~~o~~o~ La tension montait dans la salle de maquillage, le stress devenait presque palpable. Dans la grande halle, le public, les critiques, les journalistes attendaient. Nombre de flics aussi, venus donner un coup de main pour la protection, pour jeter un regard sur une jolie collègue ou tenir à l’œil une copine ou une épouse. Dans cette salle, des policiers mâles assuraient le service d’ordre, dans les couloirs des policières patrouillaient en compagnie d’un Ludovic au paradis. Sauf que Coralie – elle aussi en coulisse – le surveillait de près. Un quart d’heure avant le début du défilé, l’entrée fut fermée. Cette présentation attirait les curieux vu les tentatives ...