La petite vengeance
Datte: 12/03/2021,
Catégories:
ffh,
fagée,
frousses,
vacances,
intermast,
Oral
nopéné,
fdanus,
humour,
québec,
camping,
... doigts fins, une vraie torture, surtout que je ne pouvais même pas voir ça. Mon nez me chatouillait, agacé par la toison rousse et fournie de Pierrette qui sentait la crème à bronzer tandis que je glissais le bout de ma langue sous le petit chapeau qui protège le clitoris. Elle gémit doucement les yeux en l’air et se tortilla, surtout quand je mordillai son petit bouton avant de le lui sucer goulûment ! En même temps, je laissais le bout de mes doigts se faufiler dans sacraque de fesses par-dessus son anus que je sentais plissé, un peu bombé et le tapotai avec mon index avant de l’y enfoncer légèrement. L’anus libéra un lubrifiant naturel et se contracta, se resserra sur mon doigt, Pierrette se crispa et râla profondément avant de lâcher un long soupir. Tout se passait si vite depuis ce matin quej’avais de la misère à réaliser tout ce qui m’arrivait et puis je commençais à penser que j’avais une commotion cérébrale. Je me sentais bizarre, c’était dû sans doute à ma dure rencontre de tout à l’heure avec cette maudite branche basse. En tout cas, une chose était certaine, jamais plus je ne pourrais écouter les nouvelles de cinq heures avec Marie Lemieux sans me revoir, ici, un doigt dans le cul de sa tante pendant que la vedette me masturbait et me léchait la bite. Ça, c’est sûr ! Et soudain, les portes du paradis s’ouvrirent juste pour moi. Marie plaqua ma queue contre mon ventre pour me gober les couilles l’une après l’autre et me les étirer lentement, très lentement en ...
... même temps que le bout de sa langue me les chatouillait. — Doux Jésus, que c’était bon ! Je gémis de plus belle, déjà surpris que la bombe sexuelle me fasse la faveur de me prendre la bite pour me masturber, mais là. Ouf… J’eus droit à trois sucettes baveuses sur chaque couille avant que sa langue humide ne glisse sur ma hampe tout du long jusqu’à mon gland. Elle releva ensuite ma bite gonflée à bloc et l’avala de moitié jusqu’à son poing fermé puis elle tourna la tête de gauche à droite plusieurs fois. Mes orteils se raidirent bien écartés, même le blessé du groupe, comme si on venait de me connecter directement sur le réseau d’Hydro Québec. Les yeux vitreux et le souffle littéralement coupé par le plaisir, je gémis contre le mont de vénus en serrant plus les fesses molles de sa tante. Ça poussa même mon index plus profondément dans son cul tout en me disant que j’avais dû être vraiment, mais vraiment, un bon garçon dans une autre vie pour mériter ce délicieux traitement de faveur. Et là, Marie commença une pipe baveuse en continuant à me branler avec une lenteur infinie. Ses longs cheveux soyeux me chatouillaient les cuisses et le bas-ventre. Elle stoppa un moment, sans doute pour les ramener derrière ses oreilles, car quand elle recommença je ne les sentis plus. Énormément de salive s’écoulait de sa bouche rendant sa main bien glissante, un pur délice. Je sentais un peu ses deux grosses dents de lapin, mais bon, quand une femme comme ça vous suce et que c’est de bon cœur en ...