1. La petite vengeance


    Datte: 12/03/2021, Catégories: ffh, fagée, frousses, vacances, intermast, Oral nopéné, fdanus, humour, québec, camping,

    ... plus, alors on ne se plaint pas. J’aurais tout donné pour la regarder faire, mais c’était impossible. Tout ce que je voyais c’était un buisson ardent, y manquait que Moïse et en levant les yeux au ciel, c’était le dessous en sueur des seins de Pierrette qui miaulait de plaisir le front contre le mur en caressant avec ses doigts ses mamelons gonflés et durcis. Ma langue s’agitait toujours, mais elle était déjà un peu fatiguée, après tout ce n’est pas fait pour ça ! « Une bouche non plus ce n’est pas fait pour sucer, » me dit une petite voix. « Ta gueule lui dis-je mentalement. » Mes petites douleurs s’étaient envolées comme par magie, enfin presque. Miss télé, comme l’avait appelée sa tante tout à l’heure, était en train de me faire une pipe. Ça me galvanisa et faillit me faire jouir, déjà. Je la revoyais au bulletin de nouvelles, les lèvres couvertes de rouge luisant, ou en première page d’un magazine maquillée et coiffée comme une star, en sentant mon gland trop sensible glisser entre ses lèvres et sur sa langue contre son palais. Ça avait un petit quelque chose de surréel, mais, surtout, d’extrêmement érotique. — Réalise tes rêves, mon petit Paul ! me disait toujours sœur Yvonni à l’orphelinat. Si elle savait, la pauvre ! Que Dieu ait son âme ! Je me forçai à me concentrer sur autre chose que la pipe de la vedette pour ne pas jouir trop vite. Je le fis en attaquant le sexe mouillé de Pierrette à pleine bouche et avec plus de vigueur, y enfonçant ma langue profondément sous ...
    ... le coup de l’excitation et l’agitant furieusement dans le vagin complètement détrempé à présent. J’eus l’impression d’y sentir mon doigt qui était maintenant complètement enfoncé entre les fesses et qui s’y agitait, mais je devais rêver. Elle cria de plaisir en ondulant des hanches, son liquide vaginal légèrement salé m’inondait le visage, coulait dans ma bouche et je l’avalais goulûment. Pris dans un tourbillon de plaisir, je ne pensais plus qu’à une chose. Que Marie grimpe sur moi pour enfoncer ma queue jusqu’aux couilles dans son sexe juteux et qu’elle se démène furieusement tout en empoignant les seins mous de sa tante avec moi en criant ! « Ah oui ! Ah oui ! Ah que c’est bon, Paul !Christi, que c’est bon ! » Mais… malheureusement… sœur Yvonni ne veillait pas sur moi cette fois-là. La grande rousse retira plutôt ma bite de sa bouche et se mit à me masturber furieusement en serrant sa main bien lubrifiée si fort qu’elle m’étirait la queue. C’était comme si elle avait attrapé subitement la maladie de la tremblote. Mes fesses se resserrèrent comme un étau, mes yeux s’arrondirent devant le buisson, je me crispai, langue raidie en arquant les reins et… J’explosai en un temps record. Mon petit puits de pétrole cracha son or blanc jusque sur le dos de Pierrette qui tourna la tête pour regarder ce qui se passait tandis que je ravalais ma langue en enfonçant la tête dans l’oreiller. Je m’étais retenu trop longtemps pour pouvoir me contenir, c’était décevant, mais aussi une vraie ...
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