La petite vengeance
Datte: 12/03/2021,
Catégories:
ffh,
fagée,
frousses,
vacances,
intermast,
Oral
nopéné,
fdanus,
humour,
québec,
camping,
... jamais je n’aurais osé lui dire. Marie se leva et je pus enfin la revoir, la grande miss télé, plus bandante que jamais dans mon t-shirt à tête de mort qui s’arrêtait à mi-cuisses. Ses mamelons pointaient fièrement sous le tissu, ça me fit déglutir. Elle baissa la tête, embarrassée que je la regarde apparemment en replaçant ses longs cheveux derrière ses oreilles, de la main gauche. Je regardai la droite, qu’elle tenait levée, ses doigts étaient recouverts de sperme. Elle rougit un peu en me souriant, apparemment contente d’elle, mais pas tant que ça, comme si elle le regrettait. Mais je délirais peut-être. Je venais de jouir et pourtant le simple fait de la voir provoqua des chatouillements dans mon bas-ventre. Je m’imaginai me lever, lui arracher son t-shirt pour ensuite la plaquer sur la table de cuisine sur le ventre, lui écarter ses longues jambes et la fourrer à mort bien agrippé à ses hanches en la faisant gémir et crier. Mais… J’avais 50 ans et ma bite toute molle prendrait un temps fou à se remettre et de toute façon je ne suis pas le genre à faire ça. Trop timide. En plus, j’avais joui deux fois en quelques heures, à mon âge c’est beaucoup. — Bon, fit-elle toujours embarrassée, je vais aller me laver. Elle disparut dans ma petite salle de bain. — Pauvre Paul ! fit Pierrette découragée en me regardant, ses mains délicates posées sur mon torse osseux.— Ça va, c’était le fun ! dis-je épuisé tout à coup en caressant ses cuisses. Je ravalai le goût de son sexe en ...
... rajoutant sans trop de conviction : — Je peux continuer si vous voulez ?— C’est gentil, mais… Là, elle passa une main derrière elle et je la sentis prendre ma queue molle et poisseuse. — Vous avez besoin de reprendre des forces, Paul ! C’est pas grave ! On se reprendra, j’espère, dit-elle en débarquant du lit avec précaution.— Quand vous voulez ! affirmai-je avec conviction, retenant une grosse envie de bâiller. Marie sortit de la toilette tout sourire, elle donna une serviette à sa tante et se rassit en croisant ses longues jambes, étirant mon t-shirt pour cacher son sexe, ce qui fit grimacer la tête de mort autant que moi et elle dit, radieuse : — Continuez, ne vous gênez pas pour moi !— Ben oui ! lâcha Pierrette en s’essuyant le dos. Tu nous as coupé le fun assez raide, ma grande !— Moi ?— Non, la voisine !— C’est ça, moi, je suis la voisine ! Elles rirent encore. J’avais de plus en plus de misère à les suivre, je me sentais vaseux, alangui, si bien. — Ton héros est en train de bâiller, ma tante, de toute façon ! Marie rit à nouveau, tellement belle en replaçant encore de longues mèches de cheveux cuivrés derrière ses oreilles d’un geste sûr d’habitude. Mais elle me regardait intensément, ses grands yeux de biche quasi fermés luisaient d’une étrange lueur, je trouvai ça intrigant et fantastique. Des yeux de déesse fixés sur moi. Je rougis à mon tour et non seulement je bâillais, mais mes yeux se fermaient tout seuls. — C’est ben un homme, ça ! lâcha-t-elle moqueuse. Même quand ...