1. 6 février 2048


    Datte: 12/03/2021, Catégories: fh, hplusag, amour, Oral 69, pénétratio,

    ... ma poitrine. Sa respiration se calque sur la mienne. Je l’entoure de mes bras, et nous restons ainsi serrés. Je caresse sa magnifique chevelure ; son rythme cardiaque ralentit. Je perçois un petit frémissement qui s’accentue quand ma paume glisse sur sa nuque puis sur son dos. Si je ne sentais pas deux petits seins dont les pointes s’enfoncent dans mon côté, je penserais caresser un jeune garçon. Je répète de nombreuses fois la caresse ; elle se serre imperceptiblement contre moi. Selma sursaute au tintement de mon terminal se mettant en veille ; l’instant que nous venons de vivre est brisé. Je reste immobile, attendant je ne sais quoi. Elle se repositionne plus haut et son souffle atteint mon cou. Dans cette position, ma main est juste à portée de ses fesses. Je saisis délicatement un globe de chair. Elle se serre plus fort contre moi. C’est un petit baiser qui déclenche en moi une action plus hardie ; je la repousse, elle bascule sur le dos, elle ne résiste pas. Elle soulève les hanches quand sa culotte glisse et rejoint son tee-shirt. Le pubis est orné d’une broussaille noire de jais. Ma bouche happe la pointe de son sein et la mordille ; ma langue en fait le tour, il s’érige. Conjointement, ma main droite frôle son corps sans chercher de zone trop sensible. Je joue avec sa peau, retardant le moment où mes caresses deviendront plus ciblées. Cette jeune femme, habituellement dirigiste, se laisse embarquer sans résistance dans mon jeu. Elle est totalement soumise à mon ...
    ... désir. C’est juste si elle exerce une petite pression sur ma tête qui continue à honorer sa poitrine. Mes doigts effleurent enfin sa toison. Je trace des arabesques sur son mont de Vénus et frôle le renflement du clitoris. Sa main s’est crispée sur ma chevelure. Je plonge mon index plus bas et j’entre dans un monde chaud. Ses abdominaux se sont dessinés. Devant l’avancée de ma main, ses cuisses s’écartent ; mes doigts arrivent à l’orée de ses lèvres. Elles sont serrées, et aucune humidité ne suinte. Je n’ose forcer le rempart délicat et je parcours toute la longueur de la fente, circulant d’une lèvre à l’autre. Rien ne m’indique un quelconque début de désir, et pourtant elle se laisse faire passivement ; je suis dans l’expectative. Je lève la tête, nos yeux se croisent : elle semble terrorisée par le moment. J’applique une pression plus importante, et une phalange pénètre. Elle aspire fortement, ses yeux se ferment. Ma première phalange entrouvre ses grandes lèvres ; l’humidité commence à poindre enfin, rendant ma caresse moins douloureuse. À force de persévérance, le corps de Selma est parcouru de soubresauts et son intimité est suffisamment humide pour que je tente une pénétration plus profonde. Son vagin se contracte sous la poussée impérieuse de mon index, et son rythme cardiaque s’emballe. Je renonce et reviens à la caresse initiale. J’explore la longueur de son intimité, la profondeur m’étant interdite. Je remonte vers le clitoris et j’enduis la pulpe de mon index du peu de ...
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