6 février 2048
Datte: 12/03/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
amour,
Oral
69,
pénétratio,
Épisode 1 «23 janvier 2048 » : un journaliste spécialisé se fait aborder par une société secrète dirigée par un homme charismatique. Épisode 2 «30 janvier 2048 » : malgré des réticences et une vague impression de manipulation, Julien accepte la proposition et réintègre un monde qu’il pensait avoir banni à tout jamais. __________________________________ Jean-Joseph est volubile aujourd’hui, nous débordons du sujet principal : la mort de Patrice Lumumba. Il me raconte certaines bribes de sa vie. C’est la première fois qu’il se confie ainsi et j’en suis gêné. Il est vrai qu’en une semaine de travail, nous commençons à nous connaître et nous estimer, mais je possède toujours envers lui une grande déférence. C’est dans cet état d’esprit qu’en début d’après-midi j’attaque un footing sur le parcours de santé du parc. Même si la forme revient doucement, l’impression d’avoir « le cul-de-plomb » prédomine, et après une heure d’efforts je m’arrête près d’un arbre, hors d’haleine, les mains sur les cuisses. — Ce n’est pas la forme, il me semble. Je n’ai pas remarqué Hélène, juste derrière moi. — Et encore, si vous m’aviez rencontré la semaine dernière…— J’ai quand même eu du mal à vous rattraper. Pas si mal, pour un reporter. Pour vous récompenser, que diriez-vous d’un dîner ce soir ? Je connais une très bonne auberge proche du château. Elle est en face, ses yeux plantés dans les miens en attente de ma réponse. En corsaire trois-quarts et débardeur-brassière, Hélène est d’une beauté ...
... magnétique ; ses jambes fuselées, l’espace bien visible séparant ses cuisses, son ventre plat, ses seins volumineux ne me laissent pas indifférent. — C’est une très bonne idée. Son visage s’illumine. — Ce soir, 20 h 30 dans le hall. Elle repart. Sa foulée est légère, je n’essaie pas de la suivre, peur du ridicule. Un bruit de talon résonne dans le hall ; je regarde Hélène descendre l’escalier. Vêtue d’une longue robe noire fendue sur le côté, les cheveux tombant sur ses épaules, elle me vampe. Grâce à ses talons, elle est à ma hauteur. Mes narines sont envahies par son parfum vaporeux à base d’ylang-ylang. — Vous êtes magnifique ! Je lui tends le bras et nous sortons par la porte principale. Une petite sportive nous attend sur le parvis. Elle se déchausse et se place derrière le volant, nous sortons de la propriété. Je me retourne : pas d’autre véhicule. — Pas de sécurité ?— Quand j’ai avoué à Selma que nous allions dîner et que je voulais être seule, elle n’était pas d’accord. J’ai insisté et elle s’est renfermée. Elle était furieuse, je la connais bien ; elle travaille depuis six ans pour la compagnie…— Elle est séfarade, n’est-ce pas ?— C’est une Juive et une sabra. Je suis beaucoup attachée à Selma.— Attachée ?— Nous sommes amantes depuis trois ans. L’auberge où nous arrivons est très discrète, cachée au fond d’un tout petit chemin. L’intérieur est reposant et toutes les tables sont placées de façon à n’être dérangées par aucune autre. D’énormes bûches flambent sur des ...