Faites les mots, pas l'amer
Datte: 30/10/2017,
Catégories:
f,
fh,
extracon,
inconnu,
piscine,
hotel,
douche,
amour,
vengeance,
contrainte,
dispute,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
nopéné,
jeu,
humour,
... m’emparer de vos fesses, et que je ne les lâcherais plus ? Elles correspondent si bien à la taille de mes mains, que je pourrais les couvrir entièrement. Je pourrais dans le même temps enfouir mon visage entre vos Titten et glisser mes doigts dans le sillon de vos fesses. Après ce serait un jeu d’enfant de pianoter sur tout votre corps, du bout des doigts, du bout de la langue, d’un frôlement des cils, jusqu’à ce que vous… Elle a fermé les yeux, sa respiration est plus rapide, le haut de sa poitrine et ses joues rougissent. Elle passe de plus en plus souvent la pointe de sa langue sur ses lèvres. Mes mots se limitent aux chastes caresses qu’elle a imposées, mais ce troublant jeu de séduction lui fait intensément partager mon envie d’elle, exacerbée par la lecture de ses charmes. Son esprit n’est plus seul comblé par mon regard concupiscent. En initiant un tel échange, elle a sous-estimé à quel point cela peut devenir physiquement troublant de « faire les mots » avec une personne parlant le même langage érotique. Alors son corps se rebelle, il se languit des caresses qu’évoquent les mots, il veut que soit comblé le manque insistant, il veut la fulgurante et irrésistible bouffée de chaleur au creux des reins. Un instant je sens Meike hésiter, prête à s’emparer de mes mains pour évacuer ses tensions intimes. Mais, plus forte que je ne l’imaginais, elle se ravise et se contente de laisser glisser sa propre main le long de son ventre. Les paupières closes, elle parcourt sur sa ...
... peau un chemin connu d’elle seule, menant de l’arrondi de ses seins, qu’elle frôle délicatement au passage, jusqu’à sa vulve qu’un minuscule sous-vêtement cache encore à mes regards. Les souvenirs de fougueux ébats avec des amants attentifs viennent certainement attiser son envie. Trop fière pour transgresser les limites qu’elle a elle-même fixées, elle ne se résout pourtant pas à recevoir d’un autre ce que son homme lui refuse. Malgré ma présence, son plaisir restera solitaire. Dans mon esprit excité par cette scène irréelle, enfiévré par la beauté de ce corps en désir, d’autres mots coulent en une longue et silencieuse litanie. Il suffirait d’un signe de Meike pour que je les laisse s’échapper de mes lèvres et ajoute l’effleurement du verbe à celui des caresses. Mais elle semble être entrée dans une bulle de bien-être où je n’ai plus ma place. Sa manière de me laisser la contempler jusque-là vaut n’importe quel remerciement. Je crois lui avoir fait les mots comme elle le désirait, il est temps de me retirer, gonflé de désir certes, mais respectueux des règles du jeu. ooo000ooo Je la revois à la piscine le lendemain matin, à nouveau allongée à côté de son compagnon. Je dois impérativement avancer dans mon travail et préfère me tenir éloigné du couple. Rien ne vient donc troubler ma concentration, jusqu’au moment où, à la faveur d’une courte pause, je regarde dans leur direction. La perfide teutonne à profité de la course du soleil et du jeu des ombres sur son bronzage pour ...