Faites les mots, pas l'amer
Datte: 30/10/2017,
Catégories:
f,
fh,
extracon,
inconnu,
piscine,
hotel,
douche,
amour,
vengeance,
contrainte,
dispute,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
nopéné,
jeu,
humour,
... changer peu à peu de place et, finalement, se rapprocher de moi. D’où je suis, ou plutôt de l’endroit où je me retrouve selon sa volonté, mon regard ne peut que se poser sur ses cuisses et son entrejambe. Commence alors un étrange manège, au cours duquel elle s’applique en apparence à attirer l’attention de son homme, tout en me donnant à intervalles réguliers de quoi nourrir mon imaginaire. Suivant la position qu’elle prend, elle arrive dans le même mouvement à offrir son visage, ses seins et son ventre à son homme, tout en me laissant entrapercevoir son anatomie intime. Meike espère-t-elle que, piqué par une pointe de jalousie, son partenaire se décide à devenir plus entreprenant, ou prend-elle plaisir à exciter deux mâles d’un même balancement des hanches ? Sublime femelle ou fieffée salope, elle seule connaît la réponse. Devrais-je pour autant me retenir de poser les yeux sur ce qu’elle me dévoile ? S’il était un peu plus attentif, son amant remarquerait ce qui se trame. Et, s’il répondait à ses avances, je détournerais immédiatement la tête pour les laisser à leur bonheur. Dans une tentative désespérée de le conquérir, elle se tourne maintenant vers lui, écarte un peu plus les cuisses, redresse son torse et s’offre ouvertement à ses regards. Voire plus, tant il ne semble tenir qu’à lui de profiter de tout ce qu’elle lui promet. Il s’obstine pourtant à ignorer ses ouvertures et finit par la quitter, après un baiser distrait, pour aller rejoindre des amis en train de ...
... jouer au beach-volley. Ce que je lis alors sur le visage de Meike m’attriste profondément, mais je m’abstiens d’intervenir lorsqu’elle se lève quelques minutes plus tard et quitte la piscine, dépitée. À quelque chose malheur est bon, sa retraite précipitée me permet de mieux me concentrer sur mon travail. Elle en décide autrement. Peu avant midi, je sens soudain une présence juste derrière moi, puis deux bras posés sur mes épaules. — Vous étiez jaloux, tout à l’heure ?— Pas le moins du monde. J’étais plutôt flatté de participer, fût-ce passivement, à votre excitation.— Passivement, menteur ! N’oubliez pas que d’où j’étais je voyais sous votre table.— Et ce que vous y avez vu…— …m’a mis le feu au ventre ! Je n’en peux plus, il me faut à nouveau les mots, beaucoup de mots, ceux qui font mouiller, ceux qui font jouir. S’il vous plaît…— Vous ne préféreriez pas aller manger ? tenté-je d’objecter pour éviter toute crise conjugale. Je vous invite, si vous voulez.— Non, les mots, maintenant… Pour la deuxième fois, elle m’entraîne impérativement dans son sillage. Je commence par la suivre en direction de sa chambre, puis me ravise et l’emmène dans la mienne. Je m’y sentirai plus à l’aise, sans crainte de voir son homme nous interrompre. Tant qu’à sauter le repas de midi, autant que ce soit pour nous attabler longuement devant ses friandises intimes. Sans perdre de temps, elle se déshabille, cette fois-ci entièrement, et s’allonge sur le ventre. Au menu dos, chute de reins, fesses et ...